Dans le métro nous conduisant à l'hôtel, il y avait beaucoup de monde, comme souvent dans les transports en communs parisiens. 

     D’un commun accord, aucun d’entre nous ne prononça la moindre parole. Même, nous n’échangeâmes aucun regard. Nous étions côte à côté mais le langage ne venait pas de nos têtes. Non. C’était avec nos corps que nous parlions.
     Serrés dans un coin du métro, nos bassins en contact, nous avons passé les six stations de métro à nous caresser subtilement, à jouer en silence, au milieu de la foule.
     Tour à tour, j’eus deux paires de fesses roulant sur mon entrejambe, deux paires de fesses savantes qui jouèrent avec ma queue pour la faire durcir, pour la tendre.
     En même temps, mes mains ne restèrent pas sans agir. Sophie eut le droit à une exploration osée mais toujours délicate de ses fesses. Sentir la lingerie de Florence sur ses formes, deviner sa petite rondelle et sentir sa moiteur traverser sa jupe.      Quand à Florence, je pris le soin de très discrètement baisser le string qu’elle avait enfilé dans les toilettes pour le faire descendre sous ses fesses.
     Hors du métro, mon érection était visible sous mon pantalon et le string baissé de Florence s’imprimait sous sa jupe.   Sophie remuait les fesses en marchant. 
     A la réception de l’hôtel, l’hôtesse nous fit un sourire entendu.
     Devant la chambre, je pris conscience de ma très forte envie de soumettre Florence. Il y avait en elle un je ne sais quoi qui me rendait fou. Envie de jouer avec elle, envie de faire ressortir son côté petite chienne.
     Je mis mes mains sur mes épaules pour les plaquer contre le mur près de la porte, joue gauche contre le crépit du mur. Je mis deux doigts dans sa bouche.
     « Léchez mes deux doigts, madame, pendant que Sophie s’agenouille et soulève votre jupe pour aller jouer avec son string qui doit bien sentir ta chatte. »
     Elles s’exécutèrent promptement et avec délice. Mes doigts découvrirent la langue habile de Florence alors que je voyais celle de Sophie se darder pour aller explorer les motifs en dentelle de son string et, à travers eux, l’intimité de cette belle chienne blonde accolée au mur.
     Je vis avec délice que sa langue s’attardait sur la rondelle, le petit trou de Florence.
     « Oh mais on dirait que Sophie aime jouer avec le petit trou d’une femme, non ?
     - Oh oui ! dit-elle entre deux coups de langue. J’adore lécher cet orifice. »
     L’étape suivante se déroula dans la chambre. Elle commença ainsi
     « Je vous offre ma queue, mesdames. Montrez moi votre savoir faire et l’habileté de vos langues. »
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