Bonjour
je m'appelle Séverine. Il faut que je vous raconte ce qui m'arrive depuis
quelques semaines. J'ai rencontré un homme qui me rend folle, qui me fait
perdre la tête. Je ne pensais pas être capable de faire tout ce que je fais
avec lui. A vrai dire, je ne pensais même pas être capable d'aimer faire
tout ce qu'il me fait faire. Moi, Séverine, femme mariée, mère de deux
enfants de 4 et 6 ans, amoureuse de mon mari, je suis devenue soumise à ses
désirs. Je m'abandonne à ses volontés les plus crues, ses désirs les plus
cochons et j'adore cela. C'est incroyablement excitant. Il fait de moi ce
qu'il veut et j'en redemande. Mais laissez moi vous raconter plutôt.
J'ai donc 36 ans. Je ne suis certes pas comme sur les magazines mais plus
d'un homme regarde mes fesses et surtout mes seins dans la rue tous les
jours. Et au boulot aussi. C'est d'ailleurs là que tout à commencé. Je suis
cadre supérieur dans une boite importante. J'ai sous mes ordres une
trentaine d'hommes. J'ai donc de l'autorité et je suis respectée.
Je n'avais donc jamais eu de problême avec mes subordonnés jusqu'à
récemment. Jusqu'à l'arrivée de Stéphane, il y a deux mois. Je ne pensais
pas qu'un homme pourrait avoir autant de pouvoir sur moi, pourrait aussi
bien deviner mes désirs les plus enfouis, les plus profonds. Ce n'est pas
qu'il est beau, c'est tout simplement qu'il émane de sa personne un charme
bestial, une beauté sexuelle incroyable. il m'excite, il me fait fondre.
J'aime mon mari mais là, c'est physique, c'est incontrolable. En quelques
mots, avec sa voix grave et sensuelle, il me rend complètement moite.
Les choses ont été vite au bureau. Tout s'est passé par le regard.
Stéphane a commencé par me regarder, par me dévisager, par me fixer d'un
air lointain, vague puis peu à peu, j'ai vu des choses dans ses yeux. J'ai
plusieurs fois senti qu'il regardait mes fesses, mon corps avec une
insistance presque irrespectueuse. Il me considérait avec indécence.
N'importe lequel de mes employés aurait eu à mon égard les mêmes regards,
je l'aurais fusillé des yeux, mais pas Stéphane. Avec lui, je chavirais, je
m'émoustillais. Des yeux sombres, des yeux lubriques.
Un jour, sans prévenir, tout a basculé. Il est venu s'asseoir en face de moi
au restaurant de l'entreprise alors que nous étions les derniers ou presque
à déjeuner.
Il attaque sans attendre.
" Tu portes un string rose ou je me trompe, dit-il en oubliant le
vouvoiement qu'il me devait pour ma position.
Sa voix, son regard, son attitude me faisaient perdre mes moyens. J'en devins
presque rouge.
- Pourquoi me dites-vous cela, tentais-je de me défendre maladroitement.
- Car je l'ai vu depasser de ton tailleur en venant m'asseoir. J'adore ton
cul, je le mate des que possible.
- Stéphane...
J'étais aussi choquée qu'excitée. Il poursuivit à voix basse.
- Tu es la plus bandante des nanas du service.
- je suis mariée au cas où tu ne le sais pas.
- Je le sais très bien mais je ne te parles pas d'amour. Je te parle de
cul. Je te parle de ton string que j'ai envie de rendre humide. J'ai envie
de te baiser, Séverine.
On ne m'avait jamais parlé ainsi. J'étais électrifiée.
- Je vais me lever et toi, tu vas finir ton repas. Quand tu auras fini, tu
vas me rejoindre dans le bureau vide du dernier étage.
Il se leva sans même finir son repas et disparut du refectoire. Je finis mon
plateau sans penser à rien. Je sentais juste mon coeur battre la chamade
dans ma poitrine. Je savais que j'allais le rejoindre. Après avoir debarassé
mon plateau, je pris les escaliers pour ne croiser personne et frappai à la
porte du bureau vide. Il m'attendait derrière, assis dans un vieux fauteuil, à
côté de cartons et de dossiers empilés.
- Ferme le verrou et avance au milieu de la pièce.
Sans un mot, je m'exécutais.
- Tourne sur toi même, laisse moi mater ce corps que j'ai envie de prendre.
Sans savoir pourquoi, je mis les bras en l'air et fis deux tours sur moi
même. Mon string était trempé.
- Relève ton tailleur et montre moi ton cul.
J'obéis sans opposer de résistance. Le frôlement du tissu sur mes bas, sur
la peau de mes fesses fit monter d'un cran l'excitation. Il regardait
maintenant mes deux fesses rebondies avec le petit string en dentelle rose
qui disparaissait entre.
- Bien, très bien séverine. ça me plait tout cela. Approche toi de moi.
- Oui, dis je sans voix.
Et là, crument, il me pelotta les fesses.
- Ca c'est de la bonne fesse, dit-il, de la bonne fesse à baiser.
Je soupirais.
Il posa son doigt sur la dentelle humide et me caressa la vulve à travers le
string.
- Oh mais tu mouilles beaucoup. Tu es trempée. Ca t'excite ce que je te fais
?
- Oui, Stéphane. Tu m'excites beaucoup.
Là, il fit un autre geste encore plus cru. Il posa son pouce sur mon anus et
se mit à masser mon sexe de ses deux doigts
- Voila un entrejambe que j'ai envie de doigter. deux petits trous qui me
plaisent beaucoup.
- Oooh...
Mais mes protestations étaient vaines. J'étais conquise. J'étais excitée
comme rarement.
- Ecarte ton string, montre moi ta chatte.
Je le fis sans un mot. Je lui offrais mon sexe.
- Penche toi, me dit-il avant de me doigter sans attendre.
Je poussais un nouveau soupir. Je n'en pouvais plus. Son doigt s'enfouit en
moi. C'était trop bon, cette façon qu'il avait de  me traiter sans
ménagement. De me parler ainsi.
- Elle aime les doigts la chatte de ma patronne on dirait.
- Oui.. vas y
Il introduisit un second doigt. Il les tourna en moi, les sortit, me caressa
le clitoris. Il faisait des merveilles. Je ruisselais. A un moment, après
avoir sorti ses doigts de mon sexe, il se redressa et vint se coller contre
mon dos. Je sentis son sexe tendu puis il me montra ses deux doigts luisants
de mon plaisir.
- Ils sortent de ta chatte Séverine. Lèche les.
Je fermais les yeux et ouvrit la bouche. Il poussa les doigts en moi. Je
n'avais jamais gouté à mon sexe. Le gout un peu âpre, salé me plut
immédiatement. Je me mis à lécher longuement ses doigts. Il recommenca une
fois, deux fois... J'en perdis pied. Il mit trois doigts, me les fit lécher,
me parla crument puis finalement, il me fit jouir. En me collant un doigt
dans le petit trou. Je n'eus pas le temps de pousser un cri de surprise et
de désapprobation qu'un puissant orgasme me submergea. Je dus me mordre les
lèvres pour ne pas gémir trop fort. Je fus un instant incapable de comprendre
quoi que ce soit puis je repris mes esprits.
J'étais tout de même un peu honteuse de m'être abandonnée ainsi mais cela ne
semblait pas préoccuper Stéphane. Il me dévisagea avec ce regard bestial et
me dit une dernière chose avant de me laisser partir.
- Enlève ton string. je te le rendrais la semaine prochaine. On se reverra
dans ce bureau même.
- Oui, stéphane.
Je m'exécutais une dernière fois en faisant glisser son string à mes pieds
et en le dévisageant.
Les choses ne faisaient que commencer. J'allais vite comprendre que ses
désirs étaient encore bien plus crus.

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Après Jeanne et son gendarme et avant de vous présenter Séverine, femme mariée qui va découvrir la soumission et les joies de la pornographie, un petit interlude charlottesque...

Deux jours après sa séance photo avec Jean, Charlotte se languit de nouveaux jeux érotiques. Elle se prend elle même à son propre piège : jouer, exciter, plaire, se troubler... donc elle décide d'agir à nouveau en ce qui concerne Jean. Elle en a envie. Alors elle le fait.

Tout commence par localiser l'adresse de Jean. Elle ne connait à peu près rien de lui. Elle enquête : par une amie, elle le localise.

Ensuite, la seconde étape du jeu : un matin, seule chez elle, elle enfile le petit string qui a totu déclenché entre elle et lui et se laisse aller à penser  à Jean, à la pipe qu'elle lui a taillé, aux photos qu'ils ont fait ensemble, à tout ce qu'elle désire faire avec lui, à la levrette énergique qu'elle veut faire sur son lit, à son sexe raide et dure qu'elle avait en bouche... Elle s'excite, se caresse et jouit.

Apres son orgasme, elle retire sa string. Elle est trempée.

Exactement ce qu'elle voulait. ALors ellle emballe son tout petit slip dans une enveloppe et se dépêche de la mettre dans la boite aux lettres de Jean

Puis elle attend. La réponse ne se fait pas attendre. Elle est exactement dans la tonalité de ce qu'elle voulait. Décidemment, ce Jean lui plait beaucoup. Elle a même l'impression fugace qu'il y a un peu plus que du sexe et des jeux entre eux mais pour le moment, ce n'est pas ce qui compte.

Donc, dans la boite aux lettres de Charlotte, se trouvaient,dans la meme enveloppe que celle qu'elle avait employée, deux photos en noir et blanc. L'une montrait son string délicatement chiffonné et posée dans la main de Jean. Il en respirait l'odeur, s'impregnait de son parfum, du paisir qui rendait terriblement excitant ce petit bout de dentelle. La suivant était plus osée mais fit bien plus d'effet à Charlotte. Elle montrait en effet ce même string enroulé autour du sexe raide de Jean. Il s'était caressé avec. Charlotte ne put s'empecher de sourire d'aise...

Elle décida de le revoir deux jours plus tard, en lui concoctant une belle surprise...

 

 

 

 

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Let me introduce Jeanne.
Une nouvelle héroïne de mes récits. Une jeune femme curieuse et ouverte, une jeune femme belle, séduisante et qui a envie de s'amuser avec les hommes... et pourquoi pasvec les femmes...
Jeann a les cheveux bruns, des cheveux aux épaules qu'elle coiffe souvent en queue de cheval et des yeux verts qu'elle sait rendre provocateurs. Son corps est de ceux que les hommes regarent dans la rue : un beau petit cul et des seins fermes, une bouche aux lèvres pulpeuses et une peau mate. Un commentaire masculin sans grande élégance mais qui revient souvent à son égard est le suivant : elle est bonne.
Donc Jeanne se réveille un matin après un rêve moite et se dit que merde, ce serait stupide de passer à côté des bonnes choses de la vie. Elle est jeune, belle et vivante alros pourquoi se reuser certains plaisirs ?
En se levant et en enfilant un de ses plus minimalistes strings et le soutien gorge qui va avec, elle décida de profiter  sans plus attendre des occasions les plus excitantes qui se manifesteraient dans sa vie... Et l'un d'elle allait se présenter avant la fin de la journée.
En effet, Jeanne vivait dans un petit village à proximité d'une grande ville où elle se rendait tous les matins pour le travail. Hors ce matin, elle était en retard. Elle conduisit donc plus vite que d'habitude, dépassant les 100 km/h par moment dans des petites routes... vitesse qui ne manqua pas d'attirer l'attention d'un motard de la gendarmerie. Il était content d'arrêter ces chauffards de la campagne... tres surs d'eux et très dangereux. Alors il se lance à sa poursuite et fait signe au conducteur de se ranger quand il se trouve derrière lui, à quelques dizaines de mètres. En s'approchant du véhicule, il devine une jeune femme...

Jeanne est donc en train de conduire quand elle apercoit le motard dans son rétroviseur. Un gendarme. Pourquoi ne pas commencer ses jeux par un gendarme ? Je roule trop vite, se dit-elle, il va surement m'arrêter... parfait, dit-elle à haute voix en se regardant dans le rétroviseur. Elle arrange sa coiffure, déboutonne le haut de son chemisier et s'arrête. Le gendarme s'approche. Il est plutot sexy. Elle en salive déja.
Donc elle ouvre la portière et dévisage le gendarme. Il ne la regarde pas immédiatement, trop captivée par la naissance de ses seins et par son soutien gorge qui se laisse deviner. ELle le remarque et emet un petit toussement en reajustant son chemisier, juste pour mettre le gendarme mal à l'aise. Ce qui réussit très bien. Il en rougit presque.
" vous rouliez trop vite madame. La limite est de 70 dans ce bois vous savez...
- je sais monsieur l'agent mais je suis en retard. J'ai une réunion importante...
- oui oui oui madame. C'est ce que l'on dit toujours. Il fallait partir plutot. "
Là, elle hésita un instant et se décida tres vite. Elle devait envoyer encore un signe fort.
" vous savez monsieur, le matin, entre le choix du tailleur et du string qui va avec, je perds souvent mon temps et je suis en retard.
- bon bon bon, fit-il, un peu plus troublé. Veuillez me montrer votre str... oh pardon, votre permis et les papiers du véhicule"
Il était bouillonnant. Elle se regalait.
" Mon string monsieur ? pensez vous que cela puisse etre utile que je vous le montre.
- euh... excusez moi madame... c'est une erreur, je ne voulais pas parler de cela, explique t il de plus en plus mal à l'aise.
Jeanne est aux anges... le gendarme ne sait plus ou se mettre. Elle enfonce le clou
" Parce que si cela peut aider à quoi que ce soit que je vous montre mon string, alorsj e n'hésiterais pas"
Disant cela, elle pose un pied hors du véhicule et entreouvre legerement ses jambes pour liasser deviner le haut de ses bas. Là, le gendarme comprend la situation... Et il change du tout au tout.Il dévisage Jeanne et son regard n'est plus le meme...
" Effectivement, mademoiselle, montrez moi votre string dans un premier temps. Je verrais ensuite si je peux faire quelque chose pour votre infraction.
- tres bien monsieur l'agent."
et disant ceci, elle glisse les mains sous son tailleur et sans trop le relever, elle retire son string d'un geste rapide et le tend au gendarme.
" voilà mon string monsieur"
En lui tendant, elle regarde son pantalon : une bosse le caractérise entre les jambes.
" Tres bien. Vos papiers sont en regle je pense. Vous n'avez pas l'air d'etre une criminele mais bon, il reste toujours cette infraction.
- oh monsieur, je suis uen fille gentille... je n'ai pas voulu...
- bien, la coupe-t-il, un peu plus dominateur. Tu es une gentille fille dis tu ? Prouve le moi et on oublie cette affaire.
- Oh oui monsieur l'agent. Je suis une gentille fille et je vais vous le prouver... Approchez vous."
Puis là, Jeanne se laisse aller à ce qu'elle à décider de faire au reveil : le sexe sans prise de tête; le cul pour le cul... Elle taille une belle pipe au gendarme. Et elle y prend beaucoup de plaisir.
Elle defait lentement les boutons de son pantalons d'uniforme. ELle sort son sexe, le caresse en regardant l'homme dans les yeux... Il est déjà très dure.
" Je suis tres gentille monsieur le gendarme, lui dit -elle avant de le prendre en bouche"
Et elle le suce à merveille... Elle joue avec sa langue sur son gland, elle l'avale en entier; elle la masturbe.... Elle fait tout au mieux pour tailler une pipe mémorable à ce beau gendarme.
Et pour son ejaculation, elle a encore une idée qui l'excite beaucoup... Elle redemande son string au gendarme et quand il vient, elle dirige ses puissants jets de foutr sur l'étoffe de sons petit string. Il jouit généreuement... quelques gouttes s'échappent dont une sur sa joue... Elle la nettoie avec son doigt et la leche en regardant le gendarme dans les yeux... Il est vide apres cette belle fellation. Jeanne, même si elle n'a pas jouie, est ravie. Un fantasme de realisé le jour même où elle a décidé de passer à l'action.. cela augure délicieusement des aventures suivantes.
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Bonjour à vous tous, amis blogueurs.

Envie de vous parler un peu des choses à venir sur ce blog érotique...

je crois que je vais développer trois histoires en parallèle. Celle de Charlotte et Jean, avec leurs jeux érotiques; celle d'une Jeanne, qui sera une nana qui se libère peu à peu de ses peurs et de ses limites morales pour explorer à son tour le monde du sexe comme libertine qui veut avant tout s'amuser; et, enfin, une Séverine qui va se découvrir une passion folle et grandissante pour la soumission. Vous aurez donc sur ce blog, à divers rythmes, les récits de ces trois femmes...

Voilà... J'éspère donc que vous prendrez du plaisir à lire mes récits. Mais une petite chose : pourquoi si peu de commentaires ? Franchement, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez.. cela me ferait très plaisir, surtout de votre part, mesdemoiselles.

Je vous laisse. C'était le billet de la journée... prochaine livraison : une histoire concernant Jeanne.

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Alors alors... nous avions laissé Charlotte en petite tenue après sa séance de photos avec Jean. Il a quitté l'appartement dans le même état que son occupante : terriblement excité. Mais mademoiselle préférait agir ainsi : pour faire monter le désir, pour jouer jusqu'à n'en plus pouvoir... pour craquer et se sauter l'un sur l'autre.

Une fois seule chez elle, Charlotte regarda de nouveau les photos sur son ordinateur. Rapidement, elle fut pris au piège. Voir les différentes étapes du strip tease, voir apparaitre sa peau, ses dessous, ses fesses ses seins ne fit que relancer la machine de son désir. Elle aimait ces photos. Son petit tanga était à présent à tordre.

Elle ne put retenir son geste : elle envoya un texto à Jean. Un fantasme venait de naitre en elle qu'elle pouvait réaliser dans les minutes à suivre. Le texto disait : si tu sonnes chez moi dans les minutes qui suivent, je saurais te remercier pour tes photos. Jean répondit un simple " j'arrive"

Charlotte ne se rabhilla pas. Elle se contenta de changer de sous vêtements : elle mit non plus une lingerie fine mais une petite culotte en lycra blanc et un soutien gorge tout simple, blanc lui aussi. Quans Jean ouvrit la porte, elle se contenta de lui faire signe de s'approcher. en faisant cela, elle se mit à genoux. Puis elle plongea ses yeux dans les siens et lui dit :

" je n'ai pas envie de bruler les étapes mais je suis trop excitée pour en rester là alros j'ai décidé de te tailler une belle pipe."

Elle ne lui laissa pour ainsi dire pas le temsp de répondre. Elle dégraffait déjà les boutons de son pantalon. D'un geste rapide, elle baissa et le jean et le boxer short pour dévoiler un sexe raide et de belel taille. Charlotte trouvait cette queue très belle. Elle savait qu'elle prendrait beaucoup de plaisir à l'avoir en bouche.

Charlotte pris donc tout son temps pour tailler la plus belle pipe possible à Jean. Plusieurs fois ,elle eut envie de le chevaucher,  elle eut envie de se faire prendre mais elle réussit à ne pas perdre de vue l'enjeu : la course au désir, les jeux érotiques auxquels ils s'étaient mis à jouer sans vraiment s'en rendre compte. Elle montra donc à Jean à quelle point elel savait jouer avec sa langue, à quelle point ell savait s'occuper d'un sexe avec ses doigts, sa langue, sa bouche...

" J'aime cette queue, se dit-elle peut de temps avant qu'il ne jouisse. Ce n'est pas la dernière fois que la suces."

L'éjaculation de Jean fut abondante. Charlotte la dirigea sur son soutien gorge et ses seins. Le foutre chaud gicla en de nombreuses gouttes sur ses deux beaux seins, sur le lycra de son soutien gorge. Elle étala la semence en regardant Jean dans les yeux... décidemment, le courant passait très bien entre eux deux. Ils se séparèrent peu après. Ils avaient déjà envie de se revoir. Ils avaient déjà envie de jouer encore et encore.

Dans son lit, Charlotte se caressa longuement, non sans titiller son clitoris avec la dentelle de son nouvelle ensemble de lingerie

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épisode numéro deux de Charlotte et Jean.
La suite de leurs aventures prend place un samedi en fin d'après midi. Jean marche dans la rue, son appareil photo en bandouillère, après quelques photos prises dans un coin de la ville qu'il aime beaucoup. En passant devant une boutique de lingerie, il croise Charlotte. ils se voient immédiatement et échangent un large sourire. Charlotte est tres désirable, avec une jupe légère et un debardeur assorti. Elle porte à la main un sac de la boutique de lingerie qui semble plein de ses récentes emplettes.
"décidemment,nous et la lingerie, dit-il, amusé.
- oui, c vrai... une longue histoire, lui répond elle dans un même large sourire.
UNe idée germe dans sa tête en voyant son appareil photo. Il y a une chose du domaine du fantasme qu'elle a envie de réaliser et le hasard a mis la laingerie entre elle et ce charmant jeune homme qui la dévisage comme beaucoup d'hommes le dévisage ; avec désir. Elle le trouve charmant et elle sait par une amie qu'il fait de belles photos. Alors en un instant, elle se décide. Et elle s'en retrouve ravie et rapidement... émoustillée*
" Dis moi, Jean, lui, demande-t-elle ensuite, j'ai un service à te demander que tu seras ravi de me rendre, je suis sûre.
- je t'écoute.
- voila, je viens de m'acheter un superbe ensemble, fait elle en agitant le sac, et tu as un bel appareil photo... tu vois ou je veux en venir ?
Jean voiyait exactement où elle voulait en venir et à vrai dire, il revait de cela. Faire des photos coquines ou érotiques : un de ses fantasmes à lui aussi. Et il était d'autant plus content de cette proposition qu'ils avaient en quelque sorte une histoire commune tous les deux, une histoire commune qui tournait autour de la lingerie.
Il s'empressa donc d'accepter.
Elle l'invita chez elle. Elle savait exactement quels habits mettre avec la parure récemment acheté. Son seule et unique tailleur. Elle s'empressa de filer à la salle de bain pour se changer. En attendant, un peu illégalement, Jean ouvrit le tiroir des sous vetements de Charlotte pour les contempler. Elle portait de tout... dentelle ou lycra, coton ou soie... string ou tanga, bas ou collant... il y avait de tout dans ce tiroir. Jean était tellement excité qu'il huma même une de ses petites culottes. Inspirer ainsi ces étoffes intimes lui donna une érection.
Charlotte parut peu apres. Tres sexy. Très bandante dans cette tenue, pensa Jean. Son tailleur claire laissait deviner sans mal le noir de la parure. Les attaches des jaretelles, les bretelles du soutien gorge, l'elastique du tanga... Rien que vetue comme cela, c'était déjà des photos coquines.
Et son regard... Il suffisait à exciter Jean. Charlotte était si belle et si fière d'etr belle de cette facon qu'elle en était ravie et, aussi, il ne faut pas le nier, très excitée. Elle fit à Jean et à son objiectif un stirp tease digne de ce nom. Elle releva lentement sa jupe, elle degraffa bouton apres bouton son chemisier, elle sut faire deviner en plusieurs mouvementls les motifs en dentelle de ses dessous. En un mo, elle mit le feu au poudre...
Mais, malgré son excitation, elle savait exactement où elle allait. Et pour cette fois-ci, elle ne voulait pas aller plus loin que ses dessous. Jean se pretait si bien à leurs jeux erotiques qu'elle voulait en profiter au maximum. Faire monter la pression. Donc, quand elle fut en tanga et soutien gorge, elle se retourna vers Jean et lui fit un grand sourire.
"voila, c'est finie. Je n'ai pas envie d'aller plus loin."
Jean aurait evidemment voulu la prendre, la caresser, la toucher, la doigter, la lécher mais il savait très bien que c'était elle qui menait la danse. il était déjà comblé d'avoir pris ces soixante clichés d'une belle jeune femme se dévetant avec plaisir et désir. Et il savait aussi que les choses n'en resteraient pas là.
Lui aussi appréciait beaucoup Charlotte et leurs petits jeux.
Ils se séparèrent donc, tous les deux excités mais cela faisait parti du jeu...
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Voici donc le second récit. Encore une fois, un héros et une héroïne. Elle a un peu plus de vingt ans, il a quelques années de plus. Elle est jolie et son corps est de ceux qui suscitent le désir presque instantanément. Il a du charme mais un charme un peu timide, maladroit.

 

Les choses se déroulent en plusieurs jours, en plusieurs épisodes. Lente maturation du désir entre deux personnes. La première scène se passe dans une soirée, chez la jeune femme en question, Charlotte de son prénom. Jean, invité chez elle par l’ami d’une amie, se rend aux toilettes qui se trouvent dans la petite salle de bain. A coté du trône, une baignoire et dans cette baignoire, un étendoir avec quelques habits de Charlotte, dont plusieurs de ses jolis sous-vêtements. L’un d’eux, un string en dentelle blanche aux motifs de fleurs et orné de plusieurs délicats nœuds avait chut dans la baignoire. Jean, voyant cela, se baissa pour le ramasser. Sensible à la beauté de ce petit morceau d’étoffe, il le prit de ses deux mains et le contempla quand la porte s’ouvrit. Il avait oublié d’en fermer le verrou. C’était Charlotte. Jean se tourna vers elle, son petit slip à la main. En temps normal, elle se serait emportée devant une telle indiscrétion mais là, un peu saoule, sensible au charme et à son embarras de l’homme en face d’elle, elle se contenta de rire. Jean, lui, rougit comme une pivoine.

« C’est que… il était tombé, articula-t-il à peine.

- on regarde les petites culottes des jeunes femmes, lui répondit-elle, amusé et un peu provocatrice.

- Non ! protesta-t-il, indigné. Elle était tombée et je voulais juste la remettre. C’est précieux ces choses là alors… »

Elle s’avança jusqu’à lui en hochant la tête comme pour lui dire «  oui oui, je te crois » mais sans vraiment le croire. Elle saisit le string entre les mains de Jean et le remit sur l’étendoir.

« C’est moi qui range mes sous-vêtements chez moi. »

Mais il n’y avait aucune colère dans sa voie. Elle était sincèrement amusée par la situation. Ils se reparlèrent plusieurs fois le reste de la soirée. Charlotte assura au jeune homme qu’elle ne lui en voulait pas et que cet incident resterait entre nous.

« Au moins, ce string plait, lui lanca-t-elle-même, à un moment. »

 

Le deuxième épisode de cette histoire prend place quelques jours après cette soirée, dans un restaurant. Charlotte était attablée avec ses parents et Jean venait manger avec un ami à lui. Ils ne s’étaient pas vu depuis deux ans. En le voyant entrer, Charlotte lui adressa un large sourire. Jean le lui renvoya, encore un peu gêné par le léger incident de la soirée.

Les tables étaient ainsi disposées que Jean voyait le dos de Charlotte. Celle-ci, après quelque verres, eut soudainement envie de jouer. Elle avait finalement beaucoup appréciée l’embarras de Jean dans ses toilettes et l’idée de le remettre à l’épreuve lui fit plaisir. Sous prétexte qu’elle la gênait, elle s’empara de sa veste et la mit sur la banquette â coté de ses parents, dégageant ainsi le dossier de sa chaise. Auparavant, elle avait remonté son string – celui de la baignoire – pour qu’il dépasse de son pantalon. Puis elle se cambra un peu, pour faire ressortir au mieux ce spectacle qu’elle offrait à Jean.

Il ne mit pas longtemps à l’apercevoir. Cela le réchauffa plus sûrement que la bouteille de vin qu’il venait de finir avec son ami. Il ne se fit donc pas prier pour admirer le brin de dentelle qui dépassait du pantalon taille basse de Charlotte. Savoir qu’il avait tenu entre ses mains ce joli string l’excitait presque. Surtout que la jeune femme variait quelque peu les positions sur son fauteuil, laissant tout loisir à Jean de voir l’arrière de ce tout petit slip. La seconde bouteille l’enhardit assez pour qu’il ose demander par texto le numéro de Charlotte à un ami à lui afin de lui envoyer un court message. « Je le connais… » se contenta-t-il de lui envoyer. Quelques instants après l’avoir vue pianoter sur son téléphone, il reçut la réponse suivante : « je me suis dit que cela te ferais plaisir de le revoir. »

Le soir, de retour chez elle, elle se caressa en pensant à lui. En se déshabillant, elle fut étonnée de voir à quel point ce petit jeu au restaurant avait rendu humide son string.

Les deux épisodes suivants de cette aventure sont à suivre prochainement…

 

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     Voila donc mon premier récit.
     je le livre brut, sans préciser s'il sort de mon imagination, s'il reflete la réalité ou même s'il est simplement un mélange des deux. Il s'agit simplement de la seconde page de ce blog dédié aux sens, de mon premier conte érotique.

     Il prend place dans un train. Un train Corail reliant deux villes francaises. Non pas des grandes villes mais des villes moyennes comme il en existe des dizaines en France. cela peut donc se passer dans le sud, le nord ou encore l'est et l'ouest de notr epays. N'importe om en fait. N'importe où il y a des rails sur lesquels roulent des trains avec des wagons à compartiments. Vous les connaissez probablement. Six sièges en deux rangées de trois face à face. un tissus proche du velours mais plus neutre au contact. une grande fenètre avec un rideau en deux parties et une porte donnant sur le couloir. Voilà ainsi défini l'espace où le désir va se déployer.
    Donc dans ce compartiment, jusqu'à ce que rentre la femme au coeur de ce récit, il n'y a que des hommes. Un vieux monsieur, portant beret et lisant un journal tout en luttant contre la somnolence que le rythme du train induit ; un jeune homme, d'à pein vingt ans qui échange sans arrêt des textos avec son téléphone portable dernier cri. En ce qui me concerne, je lis un livre et je contemple le paysage à travers la fenêtre.
          Quand descend l'adolescent, monte une femme.
        Elle nous salue sans nous regarder, comme si nous n'étions pas là puis s'asseoit presque en face de moi, sur la banquette libre. Ayant l'habitude d'avoir sur moi les regards des femmes, je suis un peu piqué et je me prends à détailler l'impudente, qui ose sans vergogne ne pas attarder mon regard sur ma personne, sur mon visage.
        Premier constat : elle a du charme. Non pas qu'elle soit belle, que son corps soit celui d'un top model mais il s'émane des traits de son visage  un quelque chose qui la rende attirante. De plus, elle porte une jupe élégante avec un chemisier blanc. Son parfum emplit la cabine comme les fragrances des fleurs envahissent un pré au printemps. Elle est la fraicheur même, cette femme.
        Mon regard doit se faire insistant car elle tourne la tête pour plonger ses yeux dans les miens.
        Diantre ! Quel profondeur, quel charme !
        Elle me sourit et moi, je crois, un peu géné, je rougis légèrement.
       Je crois que ce léger rougissement lui plait - preuve de sa beauté - car elle m'adresse la parole juste après, pour me demander à quel heure nous arrivons en gare de xxx. Dans une petite heure, lui dis-je. Elle me remercie pour cette proposition en me souriant d'un sourire qui me fait fondre.
C'est alors qu'elle se baisse pour prendre dans son sac entre ses jambes une quelconque revue féminine puis réarrange sa jupe avant de se mettre à lire.
      Et là, en réarrangeant sa jupe, en soulevant quelque peu ses fesses pour lisser les plis de celle-ci, elle fait apparaitre le haut du bas de sa jambe droite. Tout simplement. Je vois l'elastique qui fait tenir autour de sa cuisse le nylon de ca bas noir. Vision à l'érotisme puissant. Et cette belle inconnue qui continue à lire alors que je ne peux que difficilement detacher mon regard de cette chaire blanche et de ce fin vetement noir.
    A un moment, elle tourne la tete vers moi pour voir non pas mon regard mais la trajectoire de celui-ci vers sa jambe, comme si elle me prenait en flagrant délit de "matage". Je me sens horriblement confus et rougis de plus belle, n'osant la regarder. La seule chose que j'entend, c'est son rire, flatté et un peu provocateur. Elle n'a pas l'air de m'en tenir rigueur. Loin de là même car elle ne change rien à sa position. Comme pour m'encourager à poursuivre mon exploration de son bas, de sa jambe.
        Ce que je fais jusqu'à ce que la situation prenne un autre tour, avec le départ du vieux monsieur, qui ne faisait rien de plus que s'endormir. Quand il quitte le compartiment, elle se met à me parler et pour me parler, elle se tourne legerement vers moi. Certes, dans cette position, je ne vois plus son bas car elle est trop en face de mon regard mais je suis à même de plonger mon regard entre ses cuisses, sous sa jupe, jusqu'à son entrejambe.
        Elle me parle d'elle, me pose des questions, se montr ecurieuse et plus nous parlons, plus ses jambes se desserrent. Et plus ses jambes se desserent, plus je suis en erection.
    Après peut etre dix minutes de discussions, j'apercois le blanc de l'etoffe de sa culotte. Ou de son string, je ne saurais faire la différence. Je suis subjugué. Elle a de l'esprit et je vois ses dessous. Je commence à etre très excité moi. Je suis loin d'être de marbre.
       Et elle le sait.
       Et elle en joue.
     A un moment, alors que je ne sais plus par quel moyen, nous en sommes venu a discuter de lingerie, je décide de lui poser un equestion directe. Je peux griller toute mes chances, passer pour un pervers mais je ne peux faire autrement. Je lui dis que si je vois la  blancheur de sa culotte, je suis bien incapable d'en dire la nature. String ou culotte ?
      Avant de me répondre, elle me sourit, amusé et non choqué.
       " A ton avis? me demande-t-elle  "
       Là, il est manifeste qu'elle veut jouer.
     " Je gagne quoi si je réponds juste ?
     - L'objet en question, fait-elle, sérieuse et provoquante. Mais tu as un gage si tu perds.
    - j'accepte, dis-je. "
    Là, inutile de vous dire que mon pantalon est tendu au possible et qu'elle le sait, car ses yeux ont plusieurs fois regardé cet endroit. Je réfléchis un instant. LA réponse n'est pas si évidente que cela. Elle aurait une jupe moulante, un habit près du corps, j'aurais répondu "string" mais là, c'est une jupe flottante et je n'en ai vu qu'un morceau de sa blanche étoffe.
       D'un autre côté, un gage donné par une jeune femme dont je vois les bas et les dessous dans un compartiment peut etre particulièrement intéressant. Donc, en espérant me tromper, je réponds "culotte"
       "Gagné, dit elle, je porte une petite culotte blanche."
       Et là, elle entrouvre généreusement ses jambes pour m'offrir la blancheur éclatante de sa culotte. Elle est belle, avec des motifs en dentelles et quelques fils d'or la parcourant.
    " Elle est à toi mais j'ai quand meme envie de te donner le gage que je voulais te donner.
     - Alors je gagne sur toute la ligne, dis-je. Je gagne ta culotte et le gage que tu veux me donner. C'est jour de chance pour moi."
       En silence, elle hoche la tete et me sourit.
       " Je descend dans dix minutes. Tu en as cinq pour me retirer cette culotte qui est tienne à présent.
      -  J'ai connu de bien plus désagréable gage."
      Puis je lui retourne son sourire avant de me lever tout en mettant bien en évidence mon éréction avant de m'asseoir avant elle.
          " Je la retire comme je veux ?
         - Comme tu veux, fait elle en s'adossant contre le siège."
         Je commence donc par poser une main sur son sein droit dont je sens la fermeté à travers son chemisier et son soutien gorge en mimant l'aveugle qui ne sait pas où chercher pour trouver ce qu'il veut mais elle hoche négativement la tête.
         " Pas mes seins, juste ma culotte. "
       Je m'excuse puis pose une main à un endroit plus aproprié, sur l'intérieur de son bas, pour remonter vers son entrejambe. Je m'insinue lentement vers le milieu de son corps, sentant peu à peu la chaleur de son plaisir m'envahir. Que c'est agréable que de découvrir son corps ainsi, que la situation est inédite et excitante. Je ne sais ce qu'il va se passer mais je suis décidé à profiter de ces 5 minutes au maximum.
         Voila qu'un premier contact s'établit entre ma main et la dentelle de son joli petit slip. Dieu qu'elle est excitée. Sa culotte est trempée par son plaisir. Il fait chaud et moite entre ses cuisses qu'elle écarte pour me laisser m'emparer de son sous-vetements. Je la sens sourire, je sens sa respiration haleter. Que je la désire ! Qu'elle est belle, ainsi offerte ! Je ne peux m'empecher de suivre du doigts les motifs que dessine la dentelle de sa culotte. je devine une fleur, que je remonte jusqu'à atteindre l'élastique autour de sa taille. Là, elle hoche de nouveau la tête quand j'essaye de glisser  un doigt pour atteindre sa toison.
          " Pas mon sexe, juste ma culotte.
         - Je comprends le gage alors, dis-je. Etre si près de tant de plaisir, de tant de bonheur et devoir se contenter de cette simple étoffe."
         Et là, comme pour conclure ma phrase, je commence à faire rouler son slip sur ses jambes. Bientot, il roule sur ses bas. Bientot, il passe ses genoux. Et bientot, la voilà nue sous sa jupe, à l'exception de ses bas. Et moi, j'ai dans la main un morceau de dentelle très humide. Peu après, elle disparait. Comme dans un songe. Je la vois quitter le compartiment. Je la vois descendre du train. Et, sur le quai, je la vois se précipiter dans les bras de son homme. Je comprends alors à quoi j'ai servi. J'ai été un apéritif, une forme de préliminaire. Elle voulait arriver excitée près de son homme, de son amant. Elle voulait être immédiatement désirable. Voilà qui me laisse réveur, le temps que le couple disparaisse de mon champ de vue.
          Oserais je avouer la suite de cette histoire pour moi ? Oui, je l'ose. Me retrouvant seul dans mon wagon, je porte a mes narines la culotte de ma belle inconnue pour respirer son odeur. Quel délice ! Elle a un parfum puissant et envoutant. Je ne puis me retenir et file dans les toilettes du train pour me caresser à l'aide de ce fin morceau de tissus brodé de dentelle. Je vins même dedans, en songeant à cette femme dont je n'ai pas connu grand chose mais qui est, dans ma mémoire, parée de beaucoup d'érotisme.


          Voilà donc mon premier récit. est-il trop long pour vous ? Trop court ? Trop précieux ? Passionnant ? Trop fétichiste de la culotte ? N'hésitez pas à me le dire ! Je n'attend qu'une chose : vos réactions, toutes vos réactions ! Merci d'avance et à bientôt pour un autre récit...



        

        
 
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    Bonjour à toutes et à tous,

    Voici donc la première page de mon blog, la page d'accueil. C'est ici que j'expose quel va en être le sujet. Et bien la chose est simple. Je vais ici parler d'érotisme, de sensualité, des choses à même de créer de doux frissons dans l'échine des lecteurs et des lectrices de mes récits.
    Eh oui, voilà énoncé le grand sujet de ce blog. L'érotisme. Le contact des corps, le rapprochement des épidermes, le partage des désirs, l'exploitation de l'ambiguité, ce moment où né le désir entre deux personnes. Ici, peu de photos, pas de vidéos, pas de liens. Juste des mots. Le verbe. La langue francaise. Car le pouvoir des mots est grand. Immense même pour qui sait les employer.
    Et c'est ce que je vais tenter de faire sur ces quelques pages. D'employer au mieux de mon imagination, de mon talent, les mots de notre langue. Mon but n'est évidemment pas de parler de cul, de décire abruptement la "chose" comme le font trop souvent les hommes. Non. Mon but est de parler du désir et de l'érotisme avec assez de tact et d'élégance pour intéresser les femmes. Mon but est d'émouvoir les femmes, non pas de faire bander les hommes. Si l'érection d'un homme est assez aisée à atteindre, il me semble que troubler un femme, créer en elle l'émoi du désir est une tache bien plus ardue. Et c'est celle là que je releve dans les pages qui suivent.
    Il va donc sans dire que je suis d'ores et déjà impatient d'avoir vos réactions, mesdames et mesdemoiselles...
    Voilà donc pour le premier article. Sur le second, vous trouverez mon premier récit.
    Bonne lecture




 
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