Donc une suite soft…

Nous en étions resté à Sophie vêtue de nouveaux dessous et assise en face de moi à un bar.
Peu après, nous étions dans la rue. Pour aller au plus vite chez elle, je décidais de prendre un taxi.
Sur la banquette arrière, une idée me vint. Je pris mon téléphone portable pour y écrire un message et, ensuite, je le fis discrètement glisser à Sophie.

« Montre moi ton string, s’il te plait. »

Elle sourit avant de regarder le chauffeur, pour s’assurer de sa concentration sur la route. Puis, une fois qu’elle fut sûre de ne pas être vue, elle remonta doucement sa jupe pour me dévoiler le string que j’avais acheté. Il était vert pastel, en dentelle. Cette vue m’excita.
Et la demoiselle en face de moi le semblait déjà pas mal. Sans un mot, elle glissa sa main sous sa robe, dans son string pour commencer à se caresser doucement. Elle ne se laissa pas aller mais laissa juste sa main derrière la dentelle pour jouer, pour me chauffer. L’effet fut assez immédiat.
Heureusement, nous étions presque arrivé.
Elle habitait au huitième étage.
Dans l’ascenseur, je me mis dans son dos et, sans un mot, je plaquais ma main sur son string pour commencer à la masser. Elle était trempée. Son string était moite. Il me fut difficile de ne pas contourner le sous vêtement pour lui glisser un doigt mais je voulais faire monter la pression encore un peu plus.
Je passais donc le temps des huit étages à lui masser l’entrejambe, sans rien en oublier.
Devant sa porte, alors qu’elle tournait la clé, je soulevait sa jupe pour voir mon cadeau entre ses fesses, pour mater ce petit cul qui commençait à sérieusement m’exciter.
Là, je lui mis une claque sur la fesse gauche.
Elle mordit ses lèvre et retint un petit cri de plaisir.
Elle aimait la fessée. Je le savais.
Pour ne pas faire de jaloux, je fessais aussi l’autre moitié de son cul puis lui dit à l’oreille
« Je te propose de retirer ta robe et de te mettre en levrette dans ton salon. Tu es partante ? »
Elle hocha la tête et poussa la porte.
To be continued…

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La suite de notre aventure est un peu comme un coup de dés qui sort le double 6 au bon moment. En effet, avec cette Sophie, j’eut l’idée de tenter ma chance.
Quelques jours après notre discussion, je devais me rendre à Paris or  Sophie se trouvait exactement sur la route. En un instant, ma décision fut prise. Je pris la route plus tôt que prévu et fit une halte dans sa ville. Là, depuis un cyber café, je me connectais au Web. Le coup de dé se trouvait là : Sophie-elle connectée ou pas, elle aussi ?
Les secondes que durèrent la connexion au site me semblèrent durer des heures. Quand la page d’accueil fut affichée, une sourire barra mon visage. Elle était online.
J’aurais pu aller lui parler différemment mais je préférais lui envoyer un email.
En voici le texte :

« Je suis à ***. Je t’attends jusqu’à 18h30 au bar ***, place de la ***. Si tu décides de venir, j’aimerais que tu portes une robe et un shorty en dentelle dessous. »

Je le postais puis me déloggait sur le champ, avant d’aller m’asseoir au bar dont j’avais noté le nom en venant.
Commença l’attente. J’avais une grosse demi-heure à patienter avec qu’il ne soit l’heure du rendez-vous. Je décidais donc de rester une heure dans ce bar. Il était sympathique donc je me mis à écrire. C’était le meilleur moyen de passer le temps. J’étais en ce moment plongé dans un roman policier. J’en étais arrivé au cœur de l’intrigue, là où chaque mot est comme un pas que l’on fait sur le lieu du crime. Il me fallait avancer avec prudence.
Une robe marron capta mon attention.
C’était elle. Elle avait accepté.
J’eu le temps de la voir regarder avec hésitation les visages aux tables.
Puis nos regards se croisèrent. C’était celui que j’attendais, celui d’une jeune femme qui veut jouer. Mon érection fut quasi instantanée.
Je savais ce qu’elle portait sous sa jupe. Je savais qu’elle voulait que l’on était pour une seule et unique chose…
Elle vint s’asseoir face à moi. Il y un instant de silence quelque peu gêné avant que je ne prenne la parole.
« Hier soir, je me suis dit : tentons ce coup de dé.
- Qui ne tente rien n’a rien, en effet.
- Et moi, j’ai une jeune femme de 27 ans.
- En effet, dit-elle dans un grand sourire.
- J’ai fait exprès de choisir cette table car elle est éloignée.Je veux que tu fasse glisser ton shorty à tes pieds, s’il te plait. »
Elle s’exécuta sans un mot, discrètement.
Quand elle eut fini, je poussais vers elle un petit paquet cadeau. De la lingerie.
« Fétichiste jusqu'au bout, n’est-ce pas ?
- Tu n’imagines même pas comme cela m’excite de te voir changer de sous vêtements. »
Elle se contenta de me sourire à nouveau. Visiblement, elle aussi, cela l’excitait de changer ses dessous dans un bar, devant un inconnu.
Once again, à suivre…

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Pour une certaine Sophie


    Ce petit récit est la suite d’une discussion que j’ai eu sur un site de rencontres non coquines avec une jeune femme. J’avais été lui parler car son visage me semblait être celui d’une épicurienne et qu’elle habitait loin de chez moi, ce qui est le préalable à la discussion que je voulais avoir avec elle.
    Je ne rentrerais pas dans les détails mais de temps en temps, sur ce site, j’aime aller parler de lingerie, domaine passionnant s’il en  est. Or il se trouve que ce lui plaisait. Elle avait des choses à dire et accepta la discussion. J’appris rapidement qu’elle portait un petit string mauve en dentelle avec un ruban et des nœuds rose clair. De plus, Sophie était seins nus sous une robe d’été. La miss avait 27 ans et se trouvait pour un stage professionnelle dans une ville non loin de la mienne.

    Vu notre entente sur ce sujet, je me dit qu’elle apprécierait peut-être mes écrits sur ce blog. En effet, elle se plongea rapidement dans mes nouvelles. Elle dévora les aventures de Jeanne la joueuse et de Séverine la soumise. Flatté d’avoir une charmante lectrice de mes nouvelles, je me mis à lui poser des questions sur son ressenti, sur ce qu’elle aimait ou pas chez les deux héroïnes. Elle me répondit simplement :
    « Je prends tout ! »
    Phrase simple mais qui m’excita pour de bon.
    « Si tu prends tout, cela veut dire que tu es joueuse comme Jeanne et soumise comme Séverine, mes dis-je. »
    Soit !
    « Alors là, vois tu, j’aimerais que tu soulève ta jupe pour toucher ton string et me dire s’il est trempé ou pas. »
    Pendant quelques secondes, pas de réponse. Je ne savais si mon interlocutrice avait envie de jouer ou pas. Je naviguais à vue.
    « Ok, se contenta-t-elle de me répondre. Mon string est trempée. »
    Mademoiselle était joueuse. « Yes » me dis-je. Nous allons donc jouer.
    « Masse toi la chatte à travers ta dentelle.
    - Oui. Je le fais. »

    Je ne rentrerais pas dans les détails de notre discussion. Je dirais juste qu’elle s’est vite retrouvé à genoux, à se doigter devant et derrière. A un moment, quand je lui demandais si elle aimait les mots crus, elle me répéta :
    « Je t’ai dit, je prends tout de tes deux héroïnes. »
    Et elle les aimait tous, les mots crus, sans distinction.
    Sous l’effet conjugué de ses doigts, de mes mots et de mes ordres, son excitation grimpa en flèche. Elle eut deux orgasmes. Je vous dit cela pour mieux vous faire comprendre la suite…

    A ce propos, si l’intéressée la veut, cette suite, je serais ravi qu’elle me laisse un commentaire pour me le faire savoir



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L'autre jour, il m'est arrivé une toute petite histoire que j'ai envie de vous narrer.
Pour la commencer, il faut que je vous parle de moi. Je ne suis pas marié mais en couple. Et le mariage est pour bientôt. C'est même cet événement qui est  à l'origine de ma petite anecdote.
En effet, ma future femme et moi, nous cherchons une maison. Quand nous pouvons, nous visitons ensemble les demeures à vendre. Malheureusement, nous ne le pouvons pas souvent. Alors nous nous partageons la tâche.
Il y a deux jours, j'avais rendez-vous avec un agent d'une nouvelle agence pour visiter une ferme.
Ma surprise fut grande quand je vis sortir de la voiture garée devant la ferme une jeune femme en tailleur tout à fait sexy et désirable.
Elle m'expliqua que son collègue avait eu un empêchement de dernière minute.
Ma surprise se mua en trouble quand j'entendis sa voix car celle-ci était proche de celle de ma compagne.
Et pas seulement sa voix, sa silhouette, ses cheveux, la finesse de son visage... De nuit, un peu saoul, j'aurais sûrement pu les confondre.
Elle passa devant moi pour ouvrir la porte, ce qui me permit de la détailler de dos. Même fesses que ma future femme. Même élégance.
En un rien de temps, je pensais aux dessous de cette femme qui se tenait devant moi.
Je projetais sur elle la lingerie de ma compagne. J'imaginais des bas et de la belle dentelle sous ce tailleur élégant.
Je fermais les yeux un instant, le temps de visualiser ma femme, de penser à elle.

Nous fîmes le tour de la maison. Elle était spacieuse et pratique, avec des volumes vraiment intéressants.
Mais je dois admettre que je passais autant de temps a regarde les pièces que cette agente. Elle me troublait, définitivement. J'imaginais ma future femme dans cette tenue, dans ces pièces vides. J'aurais vite fais de retrousser ce tailleur...
"Je vais vous laisser un peu seul dans la maison, monsieur. Je suis dans la cuisine, j'ai un coup de fil à passer."
Sa voix me ramena à la réalité.
J'acquiesçais, un peu confus.
Elle disparut derrière une porte. Je montais à l'étage pour arpenter les pièces, pour en sentir l'âme. Qu'avais cette maison à me dire ?
Après un tour à l'étage, je regagnai le bas. il s'était peut-être écoulé dix minutes. J'avais peur que la jeune femme m'attende.
En approchant de la cuisine, je l'entendis jurer à voix basse, comme énervée après elle même. La porte de la cuisine était fermée.
Que pouvait-il se passer derrière cette porte ?
Au lieu de m'annoncer ou de toquer à la porte, je m'agenouillai devant la serrure pour regarder à travers.
Ce que j'y vis me stupéfia autant que cela m'excita.
L'agente immobilière était en petite culotte, en train de frotter son tailleur au dessus de l'évier.
J'avais une pleine vue sur ses fesses.
A vrai dire, je ne voyais qu'elles.
Et ma surprise fut grande de voir cette charmante jeune femme dans une simple petite culotte en coton.
Elle était rose, avec un élastique blanc.
Elle enserrait ses fesses, elle disparaissait presque avec pudeur entre ses cuisses.
Je n'avais jamais vu ma compagne dans un tel petit slip.
Cette vision me pétrifiait sur place.
J'étais en érection.
Ce beau petit cul, cette culotte en coton me troublaient au delà du possible.
Je ne désirais pas spécialement cette femme... j'avais juste envie de rentrer chez moi pour y satisfaire une idée qui venait de naître dans mon esprit.
Je fis quelques pas en arrière sans bruit et, pour passer à autre chose, j'appelais ma future femme.
Après quelques secondes de communication, l'agente sortit de la cuisine et me montrant une tâche sur le devant de son tailleur.
" Voilà ce qui arrive quand on ouvre un placard dans une cuisine qu'on ne connait pas."
L'incident était clos.
Peu après, je la quittais.
Pour filer tout droit dans une grande surface afin d'y acheter la même petite culotte.
De retour à mon appartement, je fis présent de mon achat... l'intéressée trouva cela, dans un premier temps, très drôle puis, dans un second temps, très excitant...
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    Ma voisine est une étudiante. Jeune, fraîche, charmante, belle : on peut lui appliquer de nombreux adjectifs, tous allant dans le même sens, celui du charme et de la sensualité à fleur de peau. Ma voisine a un corps qui me laisse rêveur. Non pas fin, svelte et comme dans les magazines mais un corps souple et appétissant, désirable et généreux.
    Ma voisine est donc, pour le dire simplement et sans détour, une jeune demoiselle tout à fait bandante… Malheureusement, je ne la vois pas aussi souvent que je le voudrais. Nos vies diffèrent : elle est étudiante avec ses petits jobs et moi, mon emploi du temps de ministre - sans le salaire, of course – ne me met pas en situation de la croiser dans les couloirs.

    Cette situation a changé l’autre jour. Le genre de virage aussi inattendu que grisant. Et je pense qu'elle autant que moi ne s'attendait pas à tout ce qui allait nous arriver. laissez-moi vous expliquer. Tout a commencé un samedi, vers midi.  Je sortais de chez moi pour faire les courses et un parfum féminin traînait avec nonchalance devant ma porte. Je le hume et ferme les yeux... il me rappelle durement mon célibat, ma solitude... Mais sa fragrance est trop vive pour être le souvenir d'un passage lointain. L'odeur est fraîche. Je tourne la tête et j'aperçois à la dérobée ma voisine qui disparaît dans le coude du couloir. J'ai juste le temps de deviner une jupe, une jambe gainée d'un bas ou d'un collant noir ainsi qu'un sac qui attira mon attention plus que tout le reste. En effet, j'en reconnu l'origine, autant par la couleur que par les quelques lettres car j'avais déja moi-même acheté des dessous dans cette boutique, Daarjeling Donc ma voisine avait acheté de la lingerie ce matin... Pour elle ? Pour son homme ? une bonne affaire ? Cela me laissa rêveur le temps de mes courses.

    Voilà donc le début. Rien de spécial, rien de remarquable s'il n'y avait eu une suite quelques heures après ce rapide incident. Sur les coups de huit heures, je sortais de chez moi pour me rendre à un repas entre amis et, en me dirigeant vers l'ascenseur, je revois ma voisine. Elle attend l'ascenseur mais, ce faisant, elle lassait sa chaussure droite. Elle était donc baissée. Et j'arrivais de derrière. Voila donc que s'offrait à moi une vue sur le bas du dos de ma voisine, vêtue d'un simple taille basse et d'un petit chemisier. Il va sans dire que j'avais une vue imparable sur son string, qui était vert pastel et en belle dentelle. celui acheté ce matin ? Je ne savais pas mais cette vue ne fit que rendre ma voisine encore plus désirable. Elle dut sentir ma présence car elle se releva rapidement. Je baissais les yeux au dernier moment mais une légère rougeur quand on se salua trahit mon émotion. Un sourire traversa furtivement son beau visage. Quelque peu troublé, je la saluais. Dans l'ascenseur, un silence gêné nous accompagna jusqu'à la sortie. Dehors, elle prit à droite et moi à gauche. Fin du second épisode. Là encore, rien que d'habituel, rien d'extraordinaire. Rien qui pouvait me laisser imaginer la suite.

    Les choses prirent une tournure pus intéressante au milieu de la nuit, alors que je rentrais chez moi après un dîner arrosé. C'était à mon tour d'attendre devant l'ascenseur. je le fixais avec toute l'acuité de quelqu'un de saoul. J'entendis la porte s'ouvrir et je vis ma voisine s'avancer, elle aussi passablement éméchée, je le vis tout de suite.
    On se sourit et on échangea quelques politesses sur le fait de se croiser avant et après une soirée. Rien que de très conventionnel alors que j'avais une toute autre idée en tête. Elle reliait ce sac que j'avais entr'aperçu et ce string que j'avais vu en bref instant. L'alcool aidant, je me fis vite une raison : jamais je n'aurais d'occasion d'aborder ma voisine et, de plus, cette situation me plaisait et rejoignait mes fantasmes. Donc je décidais de me lancer. Les mots suivants sortirent de ma bouche sans que je les conçoive  vraiment dans mon esprit. Ils n'y en avaient que deux mais ils valaient nombre de questions autrement plus longues
"Daarjeling aujourd'hui ?"
Puis mes yeux se plantèrent dans les siens, un peu maladroitement, je dois l'admettre après coup. Heureusement, elle réagit bien. Elle me sourit et me dit
"Quand je lassais mes chaussures ?"
Je fis non de la tête.
" C'est vrai, j'ai coupé l'étiquette donc ce na peut pas être cela.
- Un beau string en tout cas, mademoiselle.
- Merci. Je l'ai acheté ce matin."
Là, j'aurais pu parler du sac que j'avais vu et expliquer le pourquoi du comment de ma question mais je me sentais lancé et, déja, excité.
" Et alors, ce soir, un homme les a vu ?"
Réponse immédiate : 
" Hé non. J'étais avec des copines.
- Tu leur a montré ?"
Elle me sourit
- Bah comme aux copines, je leur montre mes emplettes
- Tu me les montres à moi aussi ?"
Elle eut un sourire mystérieux
" Dites moi donc, mon voisin, n'est ce pas un peu osée de demander cela à sa voisine qui doit avoir dix ans de moins que vous ?
- tout à fait voisine. Mais pour être complet, je dirais que ma voisine est si sexy qu'on a envie de tout savoir sur ses dessous..."
Nouveau rire, interrompu par l'ascenseur qui arrivait à notre étage. Mais les pensées de ma voisine n'étaient pas interrompu, loin de là. Dans le couloir, elle poursuivit.
"Ferme les yeux si tu veux les voir."
Je m'exécutais sans poser de question. J'entendis les bruits d'étoffes glissants puis la voix de ma voisine.
" tu peux ouvrir les yeux."
Elle avait ôté sa veste et son pull et ouvert son chemisier, qu'elle tenait dans ses deux mains, exhibant une superbe paire de seins et un soutien gorge assorti au string que j'avais vu. Ce spectacle était magnifique et émouvant. J'eus une érection immédiate.
"merci mademoiselle. C'est...
- chut voisin. Sors ta queue et caresses toi si tu veux."
Je nageais en plein rêve. Je pensais d'ailleurs que j'allais me réveiller. Mais je ne me le fis pas dire deux fois. J'ouvris mon pantalon pour sortir mon sexe et commencer à ma caresser. Mon érection était belle. Ma voisine ne la quittait pas des yeux, flattée de provoquer tant de virilité.
"On ne se touche pas. On fait cela a distance, d'accord ?
- Seulement si tu tombes ton pantalon...
- Oh oui cher voisin"
Elle défit lentement sa ceinture, ouvrit un à un les boutons de son jean pour me révéler son string. Elle y glissa lentement sa main, qui disparut derrière la dentelle. elle s'activa lentement. Ses épaules se troublèrent, sa respiration s'accéléra.
" Puis je voir tes tétons ?"
Elle les sortit sans un mot, dans un geste délicat qui . Ses pointes étaient dures. " je suis très excitée, me dit elle
- Et moi donc, regarde ma queue, elle est dure.
- Je le vois. C'est superbe.
- je peux jouir dans ton soutien gorge ?
Elle sourit d'aise.
" En voila une idée coquine, jeune homme.
- Aussi coquine que ma voisine qui  se touche dans son couloir." Elle sortit sa main de son string pour dégrafer son soutien gorge et me le tendre.
" Vas y, vide toi dedans."
Ce que je fis sans plus attendre, tant j'étais excité. Je jouis abondamment sur la dentelle de son soutien gorge. Elle vint peu après, avant de remettre sur elle le soutif plein de mon foutre. Nous étions épuisé mais heureux, sans même s'être touché. Un jeu inédit, dans un couloir, au milieu de la nuit. Elle me dit au revoir par dessus l'épaule, en l'accompagnant d'un simple "a bientôt" qui me laissa rêveur longtemps avant de m'endormir   
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Depuis le début du mois, je ne vis plus dans le même appartement. J’ai déménagé pour me rapprocher du centre ville. Je suis passé du premier étage au cinquième, dans une petite rue beaucoup moins passante que la précédente. Je suis sous les combles, au dessus du croisement qui marque le milieu de ma nouvelle rue.

Un soir, récemment, je me suis mis à ma fenêtre pour observer et découvrir mon nouvel environnement.

Il était près de minuit. Quelques voitures passaient de temps à autre et de rares pas se faisaient entendre. Un vieux monsieur promenait son chien. Une rue paisible. Je me pris à observer la lune, qui dépassait des toits en face de moi, de l’autre côté de la rue. Le calme était appréciable après l’animation au pied de mes anciennes fenêtres. Nombre des mes nuits avaient été perturbées par le bruit de scooter, de groupes bruyants et éméchés, de conversations sonores au téléphone portable.

Une lumière apparût sous la lune, au dernier étage du bâtiment en face de moi. Une penderie. Immédiatement, mon esprit s’empara de cette vision pour y placer une demoiselle en lingerie.

Je suis complètement subjugué par les dessous féminins, par la dentelle, les strings et autres sous vêtements parant le corps des femmes. Apercevoir la couleur et la matière du string d’une femme assise sur un banc, à une table ou ailleurs ne me laisse jamais indifférent. Je tourne toujours la tête quand je passe devant la vitrine d’une boutique de lingerie. Alors pensez-vous, ma voisine…Mon sang ne fit qu’un tour à l’idée de cette penderie et de la possibilité d’y voir une femme. Ses murs étaient blancs et sur le côté gauche, des étagères que je devinais plus que je ne les voyais vraiment. Je fis un rapide tour d’horizon autour de moi pour comprendre que nul ne pouvait voir cette petite pièce. Elle était enfoncée dans l’appartement et celui-ci était à un angle. Le seul bâtiment qui permettait de voir cette penderie était la caisse d’allocation familiale mais à minuit, il n’y avait plus âme qui vive dans cet endroit.

Le décor était parfait donc : intimité à travers une rue.

Une femme vint y prendre place. J’en eus le souffle coupé. Je n’aurais su dire son âge. Aux environs de la trentaine, sans aucune certitude. Elle portait un peignoir. Le scénario était parfait. Je sentis une érection monter en moi très vite. Heureusement, j’étais déjà dans le noir.

La femme ouvrir un tiroir à hauteur de ses hanches.

Je bandais pour de bon quand je la vis sortir un string… non, un shorty de ce tiroir. Je n’en voyais pas grand-chose mais je sentais qu’il était en dentelle noire.

Elle continua à fouiller dans ses dessous pour prendre un soutien gorge. Quand elle eut choisi sa parure, elle délassa son peignoir pour enfiler son string. Malheureusement, elle ne m’offrit que son flanc gauche et le peignoir. Je ne vis rien.

Soudain, elle se retourna et fit un pas vers la porte. Elle disparut quelques instants plus tard sans le peignoir mais avec le soutien gorge. Un appel téléphonique, probablement.

Elle était donc en sous vêtements. Je devinais les rondeurs de ses fesses et le léger galbe que ses seins imprimaient à son soutien gorge. Une voisine tout à fait désirable. Je me régalais à la voir ainsi s’habiller. Elle enfila une jupe qui lui fit remuer les fesses en la passant puis une chemise et un petit pull. Elle fit un pas pour se regarder dans une glace que je ne voyais pas, elle lissa son pull puis sortit de la penderie en éteignant la lumière.

Cette première vision prenait ainsi fin. J’étais rêveur et excité. Car je savais que la scène allait probablement se reproduire. Je ne pus rien faire d’autre que m’allonger sur mon lit pour penser à cette femme. Son petit string en dentelle noir me plaisait beaucoup…

 

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Bonjour  tous et à toutes

Je viens de discuter sur msn avec une demoiselle de ce blog. Elle m'a donné le début d'une histoire... peut-être la mettrais-je sur ce blog.
On verra
A bientôt donc
Nicolas
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Bientot la fin de l'histoires des étudiantes mais en attendant... Jeanne la belle, Jeanne l'aventurière

 

Elle vient donc se taper deux mecs et de gouter aux joies de la double pénétration. Elle sait au fond d'elle même qu'elle n'en ait qu'au début de son parcours. Elle veut des hommes, de femmes, de la chair, du plaisir, des expériences.
Pour cela, elle décide de laisser libre cours à son désir, de ne pas refreiner ses envies, de saisir au vol les occasions qui se présenteront à elle.
Et une occasion s'est présentée à elle l'autre jour. Une bonne amie à elle organisait une crémaillère. Grand appartement, beaucoup de monde : toujours un bon  moyen de faire des rencontres. Pour accélérer les rencontres, elle enfile un jean taille basse qui laisse négligemment deviner la dentelle de son string et un debardeur qui ne laisse aucun doute sur sa poitrine : elle a un bonnet c ferme et bien en place. Rapidement, elle se retrouve grise... un peu de rhum et la voilà en train de danser. En particulier avec un mec baraqué et beau gosse, Yann. En un rien de temps, elle le fait bander. Il semble bien monté. En voilà déja un de trouvé, se dit-elle. Et ce bel homme à un copain. Donc la voilà qui danse aussi avec lui. Il est moins beau mais mieux monté. Il bande encore plus vite.
Et Jeanne de discuter avec les deux garçons. Et Jeanne de les chauffer aussi, en faisant tomber son briquet et en se baissant pour le ramasser... la direction du regard des deux mecs est évidente : ses fesses, son string.
Et Jeanne de se retrouver excitée à son tour. Et vu qu'elle a décidé de ne plus se retenir, elle lance aux deux mecs :
" On fini la soirée chez moi tous les trois ? "
Il va sans dire qu'ils acceptent. Elle met les voiles un peu avant eux et se précipite chez elle. Elle enlève son pantalon et son debardeur et enfile une paire de bas. Elle leur ouvre dans cette tenue. Ils n'en reviennent pas.
" Eh oui les mecs, vous en reviez, Jeanne l'a fait. Elle vous ouvre la porte en lingerie fine
- Waouh... en voila une qui n'a pas froid aux yeux, dit l'un, en plaquant une main sur ses fesses."
Le second, Philippe, le mieux monté, présente deux doigts devant la bouche de Jeanne, qu'elle s'empresse de lécher. Ils échangent tous les deux un regard. Ils sont tous les deux sur la meme longueur d'onde. Il est salace. C'est ce qu'elle veut.
" vient voir comme elle est trempée, dit Yann."
Et voilà Jeanne qui se retrouve avec deux mains dans son string. Avec deux mains qui l'explorent.
Alors, à son tour, elle va masser leur entrejambe. Sentir deux queues gonflés la rend folle.
SUrtout que, au moment où elle defait la braguette de Philippe, celui-ci lui colle un doigt dans le cul. Ils échangent un nouveau regard. il s'approche de son oreille.
" Mon petit doigt me dit que Jeanne aimme aussi de ce côté là.
- Si j'ai pris deux mecs, ce n'est pas pour rien, lui répond elle en plongeant son regard dans le sien. "
Puis elle se met à genoux.
" Degainez vos armes messieurs. "
il s'exécutent et en quelques secondes, Jeanne se retrouve avec deux belles érections, une en bouche et l'autre en main.

à suivre...

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Toujours la cabine d'essayage de la boutique de lingerie. Toujours les deux petites étudiantes, seins nus, l'une contre l'autre... Zoé, qui vient de prendre la généreuse poitrine d'Anne, offre à son tour son buste, bien moindre, à son amie.

Anne lui fait face et, sans la quitter des yeux, va saisir du bout de ses doigts ses petites pointes. Zoé s'attendait à un autre caresse, moins sexuelle, plus simple. Elle est surprise. un frisson la parcourt

" Hey, Anne... que fais-tu ?

- J'en profite...

- Je vois cela mais fait attention, je suis très sensible des tétons, tu sais.

- Ah ? demande Anne laconiquement. Donc cela veut dire que si je continue, tu vas mouiller ? "

En guise de réponse, elle eut un large sourire. Puis elle enleva ses mains des seins et, d'un air négligent, détacha le premier bouton du jean taille basse de Zoé.

" mais dites moi, chère amie, que faites vous ?

- Je me laisse aller...

- J'en ai envie aussi.

- Alors laissons nous aller, ma belle..."

Là, elle glisse une main derrière l'élastique du string de son amie. Ses doigts descendent le long de son pubis épilée pour s'approcher de son intimité moite. Elle effleure son clitoris. Elles soupirent toutes deux. Anne s'approche de l'oreille de Zoé.

" Je crois que nous mouillons toutes les deux autant...

- On va chez moi ? "

En silence, elle acquiesce. Elles se rhabillent, achetent chacune leur parure et s'en vont sans un mot, avec une urgence commandée par le désir...

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Il s'agit donc de Zoé et d'Anne. Deux belles étudiantes. L'une est blonde, l'autre brune. Elles sont toutes les deux bien faites, charmantes, vetues commes les jeunes demoiselles d'aujourd'hui.

Zoé et Anne passent leur samedi après midi ensemble. Elles font du shopping, elles prennent un café, elles regardent les mecs passer, elles sourient à ceux qui leur sourient puis elles retournent faire du shopping.

Elles entrent dans une boutique de lingerie. De nombreux modèles les font craquer. Elles pourraient acheter la boutique entière mais leur compte en banque ne leur permet pas cela. Alors elles choississent chacune un modèle, celui qui les fait craquer le plus.

Zoé opte pour un ensemble un peu sportif, en lycra, sobre et élégant qui va bien avec son corps sportif et sa petite poitrine. Anne choisit une parure en dentelle, élégante et féminine, que ses seins mettent en valeur...

Elles se dirigent vers les cabines d'essayage mais malheureusement, il n'en reste plus qu'une cabine de libre. Peu importe... elles vont toutes les deux dans la même. l'exiguité du lieu les oblige à se dévétir l'une contre l'autre. Quand elles sont toutes les deux en soutien gorge, Zoé tourne le dos à Anne.

"Tu me le dégraffe ?

- Oui. "

Elle s'exécute puis offre à son tour son dos à son amie.

" A toi."

Zoé le fait à son tour. Quand elle a détaché le soutien gorge de son amie, elle pose sa tête sur son épaule et la regarde dans le miroir. Son regard à une certaine chaleur qu'elle réserve d'habitude aux hommes. A tel point qu'en croisant le regard de son amie, Anne lui dit :

" Qu'est ce qu'il y a ?

- Rien, Anne... je.. tu vas me prendre pour une folle.

- Allez Zoé ! on se connait trop... vas-y, tu m'intrigues...

- Ok, dit-elle en plantant son regard dans le sien et en appuyant négligemment ses petits seins dans le dos de son amie. Voilà, tu les sens, j'ai de petits seins et toi, tu as un bonnet d super beau... j'aimerais savoir ce que ca fait que d'avoir une telle poitrine entre les mains. "

Là, Anne partit d'un large sourire. Sans un mot, elle leva les bras puis ajouta

" Je t'en prie. "

Zoé ne se le fit pas dire et glissa ses mains le long de la peau d'Anne, pour aller prendre à pleine main la généreuse poitrine de son amie. une délicieuse sensation de douceur l'envahit. Ses seins étaient doux et fermes... un régal à toucher.

Sans s'en rendre compte, elles poussèrent toutes deux un soupir et fermèrent les yeux. Après un moment, elles ouvrirent les yeux.

" Alors ?  demanda Anne. Tu aimes ?

- Ils sont doux et ferme... c'est vraiment très agréable ! Merci."

Puis elle retira ses mains.

" A moi, maintenant... jamais eu un bonnet a entre les mains... "

elles se sourirent encore... la soirée les attendait... le récit est donc à suivre

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