Donc mademoiselle était joueuse, plus de doute permis.
Alors jouons !
Let's have some fun.
Voyons voir jusqu'où la miss est prête à aller
Voyons voir si elle aimera tout du fétichiste que je suis. Tout et même plus encore.
Elle a reçu il y a peu de nouvelles instructions pour un nouveau jeu donc je ne m'attendais pas à avoir de nouvelles d'elle avant cela.
Je me trompais. J'errais.
Car il y a aussi l'imprévu à prendre en compte.
Les jeux qui surgissent.
Les situations qui se créent
Et donnent le piment, le salé, le délicieux...
Ainsi donc il était midi.
Je me connecte pour voir qui est là, ce qu'il se passe.
Et elle vient me parler.
Je ne vois pas son visage, je ne sais presque rien d'elle mais je la sens de bonne humeur, souriante.
En un mot : joueuse.
Encore une fois ce mot, me direz-vous.
Encore une fois ce terme pour la décrire mais, je puis vous l'assurer, pas la dernière. Car il la définit à merveille !
Donc nous discutons.
Un peu nos vies, un peu les jeux
Et ce qu'elle porte.
Surtout ce qu'elle porte.
Un pantalon, me dit-elle.
Mais encore ?
Des escarpins.
Mais encore ?
Elle sait très bien où je veux en venir.
Un mini slip noir, m'apprit-t-elle enfin.
Mmmm... Premières vagues de plaisir de la journée.
Ma passion fétiche, mon goût pour la lingerie.
Ni une, ni deux, un jeu
Mademoiselle, une petite photo de votre jean ouvert sur votre mini slip, un doigt passé sous l'élastique me ferait grand plaisir.
Réponse simple :
"Oui, je te la fais mais après le repas. Je dois aller manger."
Elle coupe.
Je pars, je mange, je vis ma vie.
Pour recevoir le cliché peu après deux heures.


 photo--3-.jpg

J'en eus le souffle coupé.
Rien de sexuel dans cette photo. 
Juste une touche coquine, juste une vue sensuelle. 
Juste le reflet de ma passion et de l'envie de jouer de cette jeune miss.
Ce doigt passé sous l'élastique disait tout.
Cet étoffe qui passe entre ses jambes et recouvre son intimité.
Mmmm... Elle aurait été à mes côté je lui aurai demandée, avant tout chose, d'écarter le deuxième pan de son pantalon pour mieux me montrer cette vue.
Ensuite...
La regarder se caresser pour imprégner ce mini slip noir de son odeur, de sa moiteur intime puis...
Las ! Cessons de dériver. 
J'ai des choses à faire.
Elle a des instructions pour un prochain jeu.
Il me tarde déjà de vous en faire part.
D'autant plus que les idées se bousculent au portillon.
Beaucoup de choses, d'envies...
Explorons, mademoiselle. Explorons !!! 


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Un jour, par hasard, en me promenant sur facebook, j’ai vu le profil d’une jeune et jolie demoiselle sur différents groupes coquins. Elle adhérait à des groupes d’amatrices de la lingerie, de levrette, de fellation dans la voiture… Une jolie petite coquine.

Du coup, je me suis dit why not ? J’ai lancée une invitation.

Elle m’a répondu.

En quelques échanges, j’ai d’abord eu peur.

Elle était trop sexe, trop coquine.

J’ai eu ma méfiance habituel face au virtuel.

Elle était une fake.

Elle était une petite joueuse

C’était un mec frustré qui jouait à la nana chaude.

Elle faisait remonter des mauvais souvenirs.

Elle me faisait douter de sa réalité.

Alors, pour ne pas avoir de déception, j’ai été un peu dur.

J’ai insisté pour en savoir plus

Pour avoir une preuve irréfutable de son existence

Pour savoir si elle était aussi belle, aussi sexy que sur ses photos.

Et là, miracle, elle m’envoie son téléphone.

Ni une ni deux, j’appelle…

Et je tombe sur une voix…

Mmmm une voix féminine

Une voix qui contenait un monde de plaisir et de douces promesses.

A vrai dire, avec les photos sur son profil et sa voix, j’avais un portrait de cette jeune femme en tête, un portrait des plus plaisants : une libertine, une femme libre, joueuse, coquine, aventureuse…

De plus – et cela, je ne lui dit pas tout de suite, pour lui faire une surprise – mais son prénom était celui d’une héroïne de Sade.

Le savait-elle ? Avait-elle fait exprès ?

Quoi qu’il en soit, j’avais là un signe de plus qui allait dans la même direction… LA directiondu plaisir avec cette charmante demoiselle.

Nous avons discuté quelques minutes au téléphone, le temps que je lui explique ce que j’aimais. Les dessous, la dentelle, les coquines, certains jeux fétiches…

Là, en premier lieu, ce mot la choqua presque, la stoppa dans son élan.

Après explication de ce que j’entendais par jeux fetish, elle eut un sourire accompagné d’un rire qui, au téléphone, n’était que du bonheur.

Le rire d’une jeune femme conquise

Le rire d’une libertine intriguée par ces jeux

Elle était au boulot donc je duis rapidement couper.

Mais, attiré par cette belle naïade, je décidai de lui envoyer un texto. En voici la teneur :

« Si mademoiselle veut tenter un premier jeux fétichiste, elle peut m’envoyer une photo me montrant la matière et la couleur de ses dessous. »

Puis aucune réponse.

Rien.

Pendant deux heures

Attente bien assez longue pour que je me dise en voilà une que j’ai choquée !

Arriva alors une photo magnifique.

Une photo non pas très nette ou de qualité

Mais une photo joueuse, délicieuse

Une photo qui me révélait ses dessous, son shorty, son soutien gorge, le rouge et le noir, la texture proche de la dentelle de cette délicieuse lingerie, ainsi que le haut de l’un de ses bas…

photo.jpg


J’eus un sourire contenté

J’eus un début d’érection.

Puis je répondis :

 

« Mademoiselle, votre photo, au demeurant des plus élégante et sensuelles, me fait me poser une question : au bout de ces bas, botte ou talon ? »

La réponse fut bien plus rapide.

photo--1-.jpg

Et mon érection se poursuivit.

La nouvelle photo montrait ses jambes au sol, délicieusement allongés, longues et fines… Un régal pour tout passionné de bas comme je le suis. Elle montrait aussi ses talons aiguilles.

Dieu que j’étais sous le charme.

Elle était aussi féminine que joueuse…

L’adage populaire disant jamais deux sans trois, j’envoyais derechef un autre texto.

 

« Pour parfaire ce premier jeu, mademoiselle, auriez-vous l’obligeance de m’envoyer une photo de votre main glissé dans votre soutien gorge ou dans ce délicieux shorty ? »

 

Là, de nouveau attente. Longue. Une heure.

Le temps de me dire que, mince, j’étais allé trop loin.

Puis une dernière photo.

La plus floue, la moins précise.

photo--2-.jpg

Mais celle qui acheva de me faire bander.

Mademoiselle se glissait une main, au travail, sous son shorty. Elle sentait sa chatte… Peut-être même celle-ci était déjà moite…

Je lui envoyai ensuite mes remerciements

Elle me répondit qu’elle avait encore envie de jouer.

La suite est donc à venir.

Mais cette jeune femme me semble être un délicieux partenaire de jeu

A explorer

Je vous tiendrai au courant de la suite

 

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     Une fois la porte refermée, le garçon souleva de nouveau la jupe de la demoiselle pour glisser une main sous son shorty alors que, dans un seul et même élan, il s’approcha d’elle pour l’embrasser. Leurs langues se trouvèrent rapidement tandis que ses doigts exploraient la chatte trempée et chaude de la jeune femme.

Après un long baiser où il sentit des vagues de cyprine envahir la lingerie de la demoiselle, il décida de rentrer plus avant dans les jeux auxquelles elle avait envie de jouer.

Il la guida délicatement vers son bureau, il se mit derrière elle et lui dit à l’oreille :

« Mademoiselle aurait-elle l’extrême obligeance de se cambrer et de poser ses coudes sur mon bureau ? Je vais continuer à explorer sous sa jupe. »

Elle se mit en place, se cambrant à merveille, les jambes écartées, les coudes sur le bureau, la tête perdue entre ses bras.

Le garçon passa derrière.

« Où en étais-je ? Ah oui, cette jupe, ce shorty et cette bonne croupe de petite chienne. »

Il souleva la jupe, il baissa le shorty juste sous les fesses puis, attrapa la queue de cheval de la demoiselle pour tirer, délicatement mais fermement, sa tête en arrière alors qu’il recommençait à lui fesser le cul.

Sa croupe blanche, rouge là où il faisait claquer sa main, l’excita encore un peu plus.

« Oh la petite salope. Elle se fait fesser le cul et elle en gémit. »

Il tira un peu plus sur les cheveux, ce qui fit réagir la demoiselle qui, à son tour, tira en sens inverse.

« Fais moi tout ce que tu veux. Je suis très excitée là. »

Il prit alors les mains de la demoiselle, les posa sur ses deux fesses et dit :

« Ecartez vos fesses que je vois vos orifices, mademoiselle. »

Elle s’exécuta, révélant une chatte rouge et moite et un petit trou du cul froncé et excitant.

« Quelle vue tu me donnes là ! L’entrejambe de la bonne salope que je vais baiser tout l’aprem. »

Il se mit à genoux et, du bout de sa langue dardée, il titilla l’anus de la demoiselle. Il cracha dessus, l’ouvrit, joua avec puis descendit vers la chatte qu’il explora aussi bien. L’odeur de son intimité, la chaleur de son entrejambe excitèrent tant et si bien le garçon qu’il en retira son pantalon pour libérer sa queue durcie.

Il la sortit de son boxer pour la mettre à quelques centimètres du visage de la demoiselle.

« C’est cette queue qui va te baiser. Regarde-là bien mais n’y touche pas car j’ai encore envie de t’exciter avant de te baiser.

- Elle est belle. Elle sent bon ta queue.

- Elle a déjà très envie de ta bouche et de ta chatte. Enlève ton shorty et mets toi à genoux, je te prie. Nous allons continuer nos jeux dans cette position de suceuse, de petite chienne docile.

- A vos ordres, monsieur, répondit-elle avec dans les yeux un éclat excitant. »

Quand elle fut à genoux, il se baissa pour lui donner un long baiser. Sa bouche était aussi humide et chaude que sa chatte. Un régal.

« Maintenant, j’aimerais que tu dégrafes ton chemisier et que tu sortes tes pointes du soutien gorge. Joue avec elle pendant que je prépare le prochain jeux. »

Elle s’exécuta et commença à jouer avec ses pointes en les caressant, en les faisant rouler entre ses doigts, en les tirant.

Il lui banda les yeux d’un large bandeau noir. Il enroula autour de ses doigts le shorty trempé en mettant bien la partie humide, la partie qui frottait contre sa chatte en avant.

« Mets tes mais dans ton dos, s’il te plait. »

Ensuite, il caressa ses pointes avec la dentelle trempée.

La demoiselle réagit au mieux à cette caresse, en frissonnant et en mordant sa lèvre inférieure.

« Ce n’était que le début. »

Puis il mit sa main devant sa bouche et approcha la dentelle humide.

« Sortez votre langue, mademoiselle. »

Elle le fit et la pointe de sa langue rencontra sa lingerie, qu’elle lapa avec ravissement.

« Tu sens ce délicieux petite goût de salope ? Tu sens cette cyprine ? C’est ta lingerie, c’est ta mouille.

- Oui, je le sens. J’adore. Continue, ne t’arrête pas.

- Je n’ai aucune envie de m’arrêter. Si tu en veux encore plus, si tu veux encore de mon langage cru, alors crache sur ton shorty. »

Elle s’exécuta avec une telle application que le garçon sentit son excitation redoubler. Il caressa ses lèvres, ses joues, ses seins avec le shorty. Il lui attrapa les cheveux pour lui basculer le visage en arrière, il pétrit ses seins, ses pointes. Il joua avec le corps de la demoiselle acquise, soumise, excitée.

« Oh la belle petite salope ! Oh la belle petite chienne ! »

Doucement, il la releva sans lui débander les yeux, en la tenant par les cheveux. Il se mit derrière elle pour soulever sa jupe et lui donner des coups de queue sur ses fesses.

« Déshabille toi. Je veux une petite chienne vêtue uniquement de ses bas pour me sucer. »

Elle ôta son soutien gorge et sa jupe.

« Mettez-vous à genoux, mademoiselle, et dites-moi quelque chose si le cœur vous en dit. »

Elle s’agenouilla, quelque peu hésitant sous le bandeau.

« Ta salope a envie d’une queue bien dure dans la bouche. Elle a envie de te sucer. »

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     Le garçon ne nourrissait plus aucun espoir à l’égard de cette charmante demoiselle.

     Il avait discuté avec elle, il avait constaté sa féminité et son goût pour les jeux de la soumission mais elle lui avait fait comprendre qu’elle ne souhaitait rien d’autre que du virtuel.

     Alors il avait cessé de penser à elle. Il n’était pas sur un site de rencontre pour fantasmer sur de belles inconnues qui ne souhaitaient pas franchir le pas du réel ou qui ne désiraient plus ce genre de rencontres.

     Du coup, quand il prit connaissance du message qu’elle lui avait envoyé, il en conçut immédiatement une vive érection. Elle avait été claire et précise :

 

     Bonjour coquin garçon,

 

      Je n’ai rien de prévu samedi de 14h à 18h. Voici mon téléphone. Si tu as envie de m’organiser une après-midi, je suis à ta disposition.

 

     Il n’était pas du genre à se le faire répéter deux fois. Il lui envoya un texto lui stipulant un lieu de rendez-vous en ne mentionnant que l’adresse, pas la nature de l’endroit. Il lui demanda aussi, expressément, de ne porter aucune lingerie sous sa jupe et son chemisier à l’exception d’une paire de bas. Elle lui répondit qu’elle se plierait avec plaisir à toutes ses instructions.

 

     Le samedi venu, il fut un instant en avance devant la boutique de lingerie. Ils ne s’étaient jamais vu hormis en photo mais il la reconnut sans mal. Une belle jupe, des longues bottes, une démarche simple.

     Elle lui sourit en le voyant. Son visage s’illumina.

     Le garçon vit rapidement qu’elle était déjà toute acquise à ses jeux, qu’elle venait pour s’amuser et se faire soumettre.

     Il entrèrent dans la boutique et se promenèrent quelques instants parmi les parures et les ensembles. De ses mais, le garçon frôlait souvent la taille et les fesses de la demoiselle, qui ondulait doucement en sentant les doigts sur sa croupe.

     « Voici deux parures qui me plaisent beaucoup, décida finalement le garçon. Je vous offre, mademoiselle, celle de votre choix mais pour faire les choses bien, je vous propose un petit jeu. Si vous enfilez ce string, je me dirais « tiens, mademoiselle est joueuse ». Si vous enfilez le shorty, alors je me dirais «  oh mademoiselle a envie de se faire soumettre ». »

     Une fois cela dit, le garçon laissa la demoiselle seule et l'attendit en regardant d’autres parures, d’autres ensembles. Etre entouré de toute cette précieuse dentelle était pour lui un ravissement sans fin tant il aimait ces délicates vêtures. Une passion confinant au fétichisme.

     Il paya, elle ne dit rien sur son choix puis ils s’en allèrent. Dans la rue, il sembla au garçon que la demoiselle avait une démarche plus lascive, plus sensuelle comme si le fait d’avoir enfiler de la lingerie dans le but de jouer l’avait déjà particulièrement excitée.

     Dans l’escalier qui menait chez lui, il pria la jeune femme de s’arrêter puis posa une main sur sa hanche.

     « Envie de commencer à jouer ici, avant même de prendre connaissance de la lingerie que tu as enfilée sous cette belle petite jupe bien excitante. »

     Puis il posa deux doigts sur ses lèvres. Il les caressa ainsi que les joues.

     « Ouvrez cette belle bouche, dit-il en jonglant avec le tu et le vous. »

     Elle s’éxécuta.

     Il introduisit les doigts et savoura la moiteur de sa bouche, la douceur de sa langue. Elle fermait les yeux, sentant une douce chaleur rayonner depuis sa chatte jusque dans son corps.

     « Oh la belle bouche. J’ai hâte d’y mettre ma queue. Je suis sur que c’est une belle bouche à pipe. »

     Pas de réponse, la demoiselle était toute entière dans les jeux. Quelques marches plus loin, devant la porte, il reprit le cours de ses idées coquines.

     « Arrête-toi, s’il te plait. »

     Il se mit derrière elle, se baisse, posa ses mains sur ses bas au niveau des genoux puis remonta lentement la jupe.

     « Alors donc, qui a choisi d’être mademoiselle ? Une joueuse ou une  soumise ? »

     Le haut des bas puis la peau de cuisse et, enfin, les premières motifs en dentelle du shorty. Le garçon aurait été déçu de la voir en string, à vrai dire mais il avait très bien compris les désirs de la demoiselle pour l'après-midi.

     « Oh mais ne serait-ce pas un shorty en même temps qu’une bonne croupe. Ainsi mademoiselle a envie de faire sa petite chienne. Soit. C’est exactement ce dont j’ai envie. »

     Et là, relevant la jupe en entier, il posa une belle claque sur chaque fesse. La demoiselle s’en mordit les lèvres de plaisir. Elle en gémit aussi.

     « Deux claques et tu gémis déjà. Intéressant. »

     Il se pencha pour observer le shorty plus en détail.

     « Je vois déjà une étoffe plus sombre là ou tu as trempée ta lingerie. Nous n’avons pas encore passé le seuil de ma porte que tu es déjà bien excitée. »

     Il passa deux doigts sous l'élastique du shorty pour le remonter dans les fesses puis déposa encore deux claques avant de tendre les clés à la demoiselle.

     « Ouvrez- la porte pendant que je joue avec votre chatte, s’il vous plait.

     - Il me plait, lui répondit-elle alors qu’elle sentait une main pétrir, masser sa chatte déjà trempée à travers la dentelle du shorty.

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Après une pause, je me remis donc rapidement à bander. 
Normal vu le spectacle que j'avais sur mon lit : deux belles poulettes, deux stagiaires superbandantes, deux minettes qui étaient là pour tout voir de moi, surtout le sodomite cru que j'allais être.
Je leur fis enfiler deux petites culottes en coton toute simple avant de les mettre à quatre pattes l'une à côté de l'autre, leurs visages à quelques centimètres de ma virilité dressée.
Puis je leur offris ma trique.
Elles se précipitèrent dessus pour s'embrasser et me lécher en même temps.
Le plaisir de sentir deux langues, deux bouches, deux jeunes suceuses s'occuper de moi me fit fermer les yeux le temps d'un vertige.
"Allez y les filles, faites moi durcir, faites moi bander avec vos langues de stagiaires. Durcissez cette tige qui a envie d'explorer tous vos orifices, qui a envie de vous prendre par derrière toutes les deux."
Anais se mit à me branler alors que Marie jouait avec mon gland. Je glissai uen main dans la culotte de la première, pour sentir une chatte chaude et moite.
Tout n'était qu'un long rêve éveillé depuis que la porte de ce bungalow s'était ouvert.
" Mes deux biches, mes deux poulettes, j'ai hate de vous fourrer, de sentir vos chattes, vos petits culs. Pompez bien cette queue qui veut vous honorer jusqu'au plus profond de vos corps."
Excité, j'aggripai la tête de Marie pour une pipe plus énergique. Pendant ce temps, Anais se mit derrière elle pour lui lapper l'entrejambe.
"Monsieur, me dit-elle, vos deux stagiaires sont trempées et excitées. Elles espèrent que vous n'allez rien leur cacher de vos désirs bien légitimes de client.
- Mes désirs? C'est très simple : j'ai envie d'enfiler deux petites salopes, deux beaux petits lots de 22 ans.
- Vous êtes au bon endroit, me répondit Anais en faisant glisser sa culotte."
Elle vint se mettre en levrette devant moi. Marie mit ses mains sur ses fesses et m'ouvrit son entrejambe.
J'eus une vue sur le paradis de ses cuisses, sur le mystère de sa  fente et de son petit trou. Deux orifices que j'allais explorer.
" Et voilà, j'enfile la première. Une bonne chatte trempée et glissante. Un régal pour ma queue que de sentir glisser cette intimité."
En effet, elle était si bonne à prendre, cette fente humide et excitée. Après quelques coups, je sortis de sa chatte et Marie se rua sur la queue pour la prendre en bouche.
"Oui Marie, goute à la chatte de ta copine, goute à ma queue parfumée à la cyprine de stagiaire. Oui. Crache dessus et étale sur mon gland. Je vais retourner baiser Anais. Sa chatte est si délicieuse, si glissante, si chaude. J'ai du mal à laisser ma queue hors de ce trou. J'aime sentir son étroitesse de 22 ans autour de ma bite."
Une fois que j'eus bien profité du sexe de ma première stagiaire, je changeai de position pour profiter de sa collègue. Elles se mirent en 69, Marie au dessus pendant que je lui baisais la chatte.
Voir Anais jouer avec le clitoris pendant que je sautais Marie m'excita au plus haut point. Surtout que je sentais sa langue de temps à autre sur ma queue entrant et sortant de sa chatte.
"Allez-y les filles. Soyez des stagiaires délurées. Soyez les deux petites chiennes dont je rêve. J'ai trop envie de vous baiser, de vous fourrer, de profiter de vos trous, de tous vos trous.
- Faites ce que vous voulez de moi, lacha Marie dans un râle suite aux jeux de langue et de queues d'Anais et de moi. C'est la première fois que j'ai envie de me sentir salope à ce point.
-  Pas de problème pour moi. Ma bite aime fourrer des joueuses comme vous, des belles petites salopes."
Puis je les mis cote à cote, fesses contre fesses. La vue était magnifique : deux entrejambes, deux croupes, deux belles stagiaires excitées et prêtes à tout pour découvrir mes désirs.
Je leurs mis deux doigts en chacune pour bien les enduire de leur mouille.  Je leur fis lécher les doigts sortant de la chatte de l'autre. Anais gouta Marie et MArie gouta Anais. Elles échangèrent un long baiser alors que je me mis à baiser en alternance rapide ces deux chattes.
"Et quelques coups dans Anais, et  quelques coups dans Marie. C'est trop bon d'avoir deux chattes sur un lit, deux belles croupes luisantes et excitées. Je vous raconte pas le bonheur de vous sauter, de vous enfiler. Ma queue sent vos chattes, ma queue se parfume à votre intimité. Je vais vous offrir de bonnes giclées de foutre pour vos beaux visages, les filles."

Puis je les fis descendre du lit. Je mis Anais a genoux sur le tapis, les coudes sur le lit. Marie ouvrit de nouveau ses fesses mais cette fois-ci, ma langue s'attarda sur son petit bouton, sur sa porte de derrière. Avec sa collègue, nous lui préparâmes la rondelle. De la salive, des doigts, de la douceur et voilà une rondelle s'ouvrant petit à petit.
J'étais excité au possible en pénétrant ma belle stagiaire par derrière. Marie la caressait, lui prenait les seins, l'embrassait alors que je trouvai ma route en elle, entre ses fesses. 
"Et voilà un bon petit cul autour de ma queue. C'est bon de t'enfiler la rondelle, Anais. C'est bon de t'ouvrir le cul."
Une fois que je fus bien en elle, une fois que son petit trou m'eut accueilli en entier, je me mis à la baiser plus énergiquement, tout en continuant à parler.
"Une bite au cul pour ma stagiaire de luxe, une bonne sodo pour un bon petit cul bien ferme. Jaime fourrer ma trique entre tes fesses. J'aime baiser des entrejambes aussi chaudsz, aussi excitants que les vôtres. ."
Pour toute réponse, elle tourna la tête pour me regarder. Elle ne dit rien, ses yeux suffisaient à faire passer le message suivant : allez-y client, abusez de vos stagiaires."
Je sortis d'elle pour admirer son petit trou en train de s'ouvrir.
" Je n'avais jamais eu cette vue, me dit Marie, c'est beau de voir ma collègue se faire peter le cul.
- Oh oui. un reve que de mettre sa queue dans ce trou, un rêve que d'avoir six orifices pour moi ce soir. C'est toujours un plaisir que de baiser le cul de deux jeunettes comme vous, de deux bonnes petites salopes.
Marie prit ma queue dans sa bouche pour la sucer un peu puis cracha sur l'orifice béant d'Anais
"Baise lui bien le cul à cette petite chienne."
Avec plaisir. Je mis ensuite Anais sur le flanc, pour la prendre par derrière en cuillère, pendant que Marie jouait de sa langue avec sa chatte. Ma première stagiaire eut un orgasme alors que nous nous affairions à deux en elle, entre ses jambes.
Peu après, ce fut à Marie de m'offrir son petit trou.
" Et voilà, le sixième trou, le dernier orifice à explorer. C'est bon d'avoir deux poulettes à baiser bien à fond, deux petites salopes qui en veulent par tous les côtés possibles. Deux stagiaires qui aiment satisfaire les clients et se mettent en entière disponibilité, depuis leurs dessous jusqu'à leur cul.
Nous variames les positions, je les pris longuement par le cul et la chatte, sur le dos, à genoux, contre le mur.
Je leur dis les choses les plus osées, les plus imaginatives qui me passaient par la tête.
Je ne savais plus si je touchai terre ou pas. Elles étaient deux stagiaires parfaites, deux coquines, deux poulettes, deux joueuses...
Mon éjaculation les honora largement. Je visai leurs deux bouches. Elles s'embrassèrent ensuite. Ce fut un délice que de voir le foutre couler sur les joues, de leurs lèvres. Elles se léchèrent les seins ensuite, là où ma semence avait coulé.

Pour la seconde fois en une nuit, elles m'avaient terrassé.
La pièce entière sentait notre plaisir, notre complicité. Il y avait des dessous féminins partout, je sentais quatre seins et deux souffles contre mon corps. mes mains caressait lentement, lascivement leurs deux dos. Nous étions calmes et apaisés
J'espérais avoir contenté leur curiosité.
 
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La clé se fit entendre alors que je glissais mon boxer short pour révéler ma queue à la vue de Marie qui se caressait avec les dessous d’Anaïs.

« Elle est belle monsieur. Cela va être un plaisir que de la satisfaire. »

Anaïs eut un temps d’arrêt en nous voyant, avant de nous sourire.

« Votre collègue était en session de rattrapage. Juste le temps de tremper son tanga et vous voilà.

- Right on time, n’est-ce pas ? me répondit-elle en dégrafant son chemisier. »

Elle fit apparaître un soutien gorge noir en dentelle aussi précieux que celui de sa collègue. Un puissant soupir de plaisir me parcourut. J’avais devant moi une nuit avec deux bombes…

 

« Anaïs, pour la suite du module, veuillez vous mettre a genoux derrière votre collègue et glisser une main dans son tanga… Oui voilà. Allez sentir comme votre collègue a déjà trempé sa dentelle.

- Sa chatte est très douce. C’est un plaisir. »

Puis je me calai confortablement dans le canapé pour contempler ces deux stagiaires, ces deux jeunes femmes élégantes s’exciter entre elles, me contentant de les guider et de leur parler.

Marie se mit en position levrette, les épaules sur le tapis, le cul relevé bien haut devant le visage d’Anaïs. En un tour de main, elle avait rejoint la tenue de son amie. J’avais sous les yeux deux parures en dentelles, deux paires de bas. De la lingerie à m’en tourner la tête. De la dentelle humide.

« Masse ses orifices à travers son tanga, dis-je à Anaïs. Oui. Promène tes doigts comme cela. Oh les deux belles biches. On va s’amuser. Je sens peu à peu le fétichiste qui cède la place au client salace. Envie de vous faire tremper les cuisses avant de vous sauter, mes demoiselles.

- Oh mais nous sommes là pour le fétichiste autant que pour le grossier personnage, me fit Anaïs. »

Puis elle écarta le tanga de Marie. Elle lappa sa cyprine, elle joua avec sa rondelle. Marie était aux anges, ainsi offerte, le cul relevé, aec une langue en train de lui fouiller les orifices.

Anaïs attrapa son amie par sa queue de cheval pour la redresser à genoux. Là, elle descendit son tanga à ses genoux pour mettre ses deux mains sur son entrejambe et sa bouche sur la sienne. Elles s’embrassèrent langoureusement alors que les doigts de ma première stagiaire fouillait l’entrejambe de Marie. Pour lui doigter la chatte et le cul.

« Doigte-lui bien le cul, à cette petite salope, dis-je à Anaïs.

- J’ai un doigt dans chacun de ses trous, monsieur. Est-ce ainsi que vous aimez vois les stagiaires ?

- Exactement. C’est un plaisir que de se branler devant deux petites chiennes en dentelle, devant deux stagiaires qui aiment les clients vicieux. »

L’étape suivant de ces jeux passait par le shorty d’Anaïs. Marie lui mit les épaules sur le canapé, croupe fa ce à moi, elle aussi offert à mon regard. Voir ce cul dans un shorty me donna très envie de l’enfiler par la petite porte.

Marie fit glisser le shorty et me le montra là où la dentelle l’avait humidifier.

« Voilà une belle vue. Maintenant, Marie, caresse la chatte de ta collègue avec cette dentelle humide. Parfume la bien avec cette fente de stagiaire, avec cette fente que j’ai déjà très envie de fourrer.

- Et la mienne, fit Marie, minaudant, avez-vous envie de la fourrer ?

- Oh mais mademoiselle, sachez que les six trous que vous mettez à ma disposition ce soir vont recevoir mes hommages. »

Quand elle eut bien caressée Anaïs avec le shorty, je lui fit mettre la précieuse étoffe dans la bouche d’Anaïs, pour la bâillonner avant de jouer avec son entrejambe.

Je m’approchai d’elle pour écarter sa croupe et ouvrir ses fesses de mes deux mains

« Crache sur cette petite rondelle, Marie, et léche lui le cul, je vous prie. »

Elle s’exécuta. Je vis avec délice la stagiaire darder sa langue pour aller titiller l’anus de sa collègue.

« Lèche-lui bien le cul. Goûte à son petit trou. Oui, Doigte lui la chatte aussi. C’est magnifique de voir cette rondelle et ces lèvres excitées de plaisir. Elles mouillent bien mes deux stagiaires. »

Puis nous donnâmes une fessée à Anaïs. Ses deux fesses, blanches là où le maillot laissait sa trace, devinrent rouges en quelques coups. Elle était si bandante, si excitante, si désirable ainsi, fessée et bâillonnée.

« Ferme les yeux, Anaïs, dis-je doucement à son oreille.

L’instant d’après, je la redressai avec l’aide de Marie. Elle lui enleva son soutien gorge pour saisir les pointes de son bonnet b et jouer avec. Elle était dans son dos. J’avais en face de moi la vue de ma parfaite stagiaire avec, sur les seins, les deux mains de son amie.

Je fis glisser le shorty de sa bouche pour, d’un coup, le remplacer par ma queue. Je sentis une vague de plaisir parcourir Anaïs alors que ma queue prenait possession de sa bouche.

« Suce le bien, Anaïs. Elle doit être bonne cette queue, dit Marie à son oreille, alors que, les yeux toujours fermés, elle commençait à me tailler une belle pipe.

- Oh le pied ! exultai-je. Deux bonnes suceuses, deux belles bouches à pipe rien que pour moi. Je suis très excité là. Je ne vais pas pouvoir me retenir des heures donc je vous propose une première éjaculation avec vos bouches avant de passer à l’étage inférieur de vos deux corps. Vous êtes partante ?

- Le client est roi, monsieur, me fit Anaïs en sortant la queue de sa bouche et en me regardant.

- Les deux stagiaires sont là pour vous satisfaire, compléta Marie. »

Je vis rouge de plaisir, excité comme un taureau.

« Venez là, mes deux chéries. A genoux toutes les deux, on va s’offrir une belle pipe à deux bouches avant de vous offrir une bonne giclée. »

Je les mis côte à côte, à genoux, nue, joue contre joue avant de commencer à jouer avec leurs deux bouches. Je passais de l’une à l’autre, j’offrais mon gland tour à tour à leur deux langues. Je baisais ces deux paires de lèvres. Mon gland fut rapidement luisant de leurs salives et de mon liquide séminal. C’était un spectacle délicieux que de les voir jouer avec ma queue, la lécher, titiller mon gland. Je le promenais sur leurs lèvres, leurs joues. Elles s’embrassaient et je me glissai entre leurs bouches jointes.

« Allez les filles, sucez bien cette queue. Elle a envie de baiser vos petits culs, elle a envie de vous sauter.

Je mis Marie à genoux devant moi pour lui offrir la même pipe dirigée qu’à Anaïs sur la plage. Une main sur sa tête, solidement arrimée, je me mis à diriger le mouvement de sa bouche autour de ma queue. Elle fermait les yeux et se laissait faire. Son visage entier allait et venait autour de ma verge. Le spectacle était magnifique

« Allez petite salope, laisse moi te baiser la bouche. Laisse moi fourrer ces lèvres de suceuse. »

D’elle-même, Anaïs se mit derrière pour lutiner la croupe de sa camarade. Elle enfouit sa tête entre ses fesses pour lui lécher la chatte et le cul. Elle recula la tête, sourit et lui glissa deux doigts dans la chatte puis dans le cul.

Puis je ne fut plus en mesure de retenir mon plaisir.

Elles se mirent à genoux et je vins dans leurs bouches et sur leurs joues à longs traits de semence chaude. Elle échangèrent ensuite un long baiser avec mon foutre en bouche. Il coulait à la commissure de leurs lèvres. Elles s’échangeaient mon précieux liquide en s’embrassant. Je me mis a genoux pour les saisir, pour caresser leurs peaux brûlantes, pour les embrasser et partager nos fluides.

Mes mains descendirent entre leurs jambes. Je me glissai dans l’intimité de leur douceur lubrifiée en même temps. Comprenant mon intention, elles se mirent d’elles-mêmes en levrette, relevant pareillement leurs croupes. Et là, de mes deux mains, avec quatre doigts, sur leur clitoris, en elles, je leur donnai un orgasme.

S’ensuivit quelques instants de silence où nos corps, collés les uns aux autres, se reposaient, jouissaient de la chaleur et du plaisir dégagés par nos ébats.

« Alors, mesdemoiselles, on continue la formation ou bien vous voulez remettre à plus tard la seconde partie du module, celle du vicieux salace ? leur demandai-je dès que je sentis monter en moi une nouvelle érection. »

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Ainsi donc ma belle stagiaire voulait une formation accélérée. Deux modules en un, deux aspects de mes désirs en une séance… Le fétichiste des dessous et le sodomite cru. Je n'eus aucun mal à imaginer comment rendre la scène plus réaliste, plus excitante.

Anaïs m'avait donné le numéro de son bungalow en m'indiquant que je pouvais passer à toute heure.
"Je suis toujours disponible pour apprendre mon métier, m'avait-elle dit en me donnant aussi son téléphone."

Le lendemain, sur les coups de dix heures du soir, je décidai de frapper à sa porte. Mon scénario était déjà prêt. J'allais endosser le rôle du client insomniaque, stressé, tendu qui ne connait qu'une méthode pour retrouver le calme et le sommeil...
A mon grand étonnement, ce fut une blonde qui m'ouvrit. Marie, la collègue nouvellement arrivée d'Anaïs. Elle m'en avait parlé mais j'avais oublié cette information. Un rapide coup d'oeil me suffit à la détailler : même taille que sa collègue mais un soupçon plus forte. Un bonnet et une taille de string en plus. De b à c, de 36 à 38. Mais l'idée générale était la même : une stagiaire des plus bandantes.  Elle m'ouvrit avec un soupçon de méfiance dans le regard et dans son attitude.
" Bonjour, je suis un ami d'Anaïs. Je voulais savoir si elle était là...
- Un ami ? C'est vous le client de la plage ?
- Oui, en effet, c'est moi."
Un sourire barra son visage. Les deux collègues partageaient certains secrets. Je commençais à entrevoir deschoses fort intéressantes.
"- Elle m'a beaucoup parlé de vous. Entrez, je vous prie."
Elle fit demi-tour pour me guider vers le salon. Je pus admirer sa croupe. Son peignoir blanc laissait deviner l forme discrète d'un tanga. J'en avais déjà l'eau à la bouche. Elle me fit signe de m'asseoir en face d'elle dans le petite salon jouxtant leurs chambres.
" Anaïs n'est pas là. Je suis Marie, sa nouvelle collègue. Elle m'a expliqué que vous étiez là pour compléter notre formation de stagiaire, c'est cela ? "
J'eus une intense moment de jubilation intérieure. Anaïs m'avait déjà préparé le terrain avec cette blonde excitante.
"C'est tout à fait cela, mademoiselle. Je suis là pour vous parler des désirs et des envies de certains clients, ceux que l'on peut ranger dans la catégorie gros cochon, obsédé ou vicieux. J'espère que ces mots ne vous feront pas fuir... 
- Oh je ne suis pas du genre à fuir les réalités de mon travail.
- Bien. Alors peut-être avez-vous envie, maintenant, d'une petite séance ?
- Toute seule ? Mais Anaïs n'est pas...
- Recommencez deux fois cette leçon avec deux stagiaires ne sera jamais un problème.
- Très bien. Alors dites-moi ce que je dois faire, je vous prie monsieur."
Je bandais déjà. Marie, comme sa collègue, jouait parfaitement le rôle de la stagiaire.
" Alors commencez par enfiler une jupe de tailleur clair, un chemisier blanc, des bas couleurs chairs et des dessous rouges puis revenez me voir.
- Je porte déjà des dessous rouges... je dois en changer ?
- Montrez-les moi, je vous prie."
Elle écarta avec élégance son peignoir pour me révéler un tanga en dentelle rouge des plus sexys. Exactement le genre de lingerie que le fétichiste que je suis peut regarder des heures dans la vitrine d'une boutique, sur un mannequin.
"C'est parfait. Mettez le soutien gorge assorti à ce tanga et nous pourrons commençer la leçon."

A son retour de la salle de bain, c'était une autre femme. Une stagiaire de grande classe, une jeune femme élégante dans un tailleur moulant ses formes avec délice. Elle était aussi bandante que sa collègue.
"Cette tenue vous plait-elle pour la leçon, monsieur ? me demanda-t-elle en passant ses mains sur ses fesses et ses seins, à travers l'étoffe de son tailleur.
- Vous êtes parfaite, mademoiselle. Alors, maintenant, laissez-moi vous expliquer la situation. Je suis un client stressé, qui ne dort pas alors qu'il a un gros contrat à concrétiser demain. Il a essayé la réception mais personne pour l'aider. Il a sonné chez son voisin de chambre mais pas de réponse. Alors il prend son courage à deux mains et va sonner chez la stagiaire qu'il a vu. Il se dit qu'elle pourra peut-être l'aider...
- Oh mais bien sûr, monsieur, enchaine-t-elle sans attendre. Que puis-je faire pour vous aider ? Vous voulez de l'aspirine ?
- Je vous remercie mais j'en ai déjà pris... je... j'ai une idée mais... cela vous choquera, mademoiselle.
- N'ayez crainte, monsieur. Nous sommes des professionnels. Nous sommes là pour satisfaire nos clients.
- Bien bien. Alors voilà... voir une jeune femme porter des bas a un puissant effet calmant sur moi.
- Si ce n'est que cela, je peux vous aider, monsieur.
- Ah mais merci beaucoup, alors."
Elle se redressa et releva lentement, délicatement, sa jupe de tailleur pour faire apparaître le haut de ses bas couleur chair. Cette vue me rendit fou. Des jambes à la peau blanche, des bas de qualité...
"Voyez-vous, mademoiselle, je vais déjà mieux. Je me calme. Merci beaucoup.
- Dois-je soulever la jupe plus haut, monsieur ?
- Oh avec plaisir mais je ne voudrais pas vous importuner.
- Allons allons monsieur. Le confort des clients passe avant tout chez nous."
Et là, elle révéla son tanga, qui était encore plus beau avec une paire de bas non loin et l'étoffe d'une jupe qui en masquait une partie. J'étais devant une vue qui me troublait. Le fétichiste que j'étais savourait ce moment de jeu. Un beau tanga porté par une stagiaire excitante.
" Je ne sens presque plus rien ! C'est magique mademoiselle. Je crois que voir votre soutien gorge serait un petit plus non négligeable pour ma douleur...
- Avec plaisir, monsieur."
Elle dégrafa son chemisier pour faire apparaître un délicieux bonnet c mis en valeur par un soutien gorge en dentelle rouge qui me subjugua. Je nageais en plein rêve avec cette poulette qui se deshabillait pour jouer à mes jeux. En fixant son tanga, je crus voir, sur la dentelle rouge, un endroit plus sombre. Marie commençait à tremper sa lingerie ? Cette tache semblait l'indiquer.
"Mademoiselle, vous êtes vraiment très professionnelle. Cela vous honore. J'aime vos dessous et votre serviabilité. Puis-je encore abuser de vous ?
- Que dois-je faire ?
- Pourriez vous aller prendre deux strings de votre amie Anaïs ? J'aurais un petit jeu à effectuer avec.
- J'en ai pour une seconde..."
Et elle se tourna encore pour aller dans la chambre de sa collègue.
"Non, arrêtez-vous là, mademoiselle... Votre cul est un specatle magnifique. Je voudrais en profiter."
Je l'entendis sourire d'aise. La dentelle du tanga était un régal à voir disparaître entre ses fesses. Je lui demandais de se cambrer, de passer un doigt sous la dentelle, d'ouvrir ses fesses pour que je vois bien les motifs du tanga s'imprimer sur son entre-jambe. En la voyant ainsi s'exhiber devant moi, je pus constater ce que j'avais vu quelques instants auparavant : cette stagiaire trempait sa lingerie. L'étoffe de son tanga était sombre de cyprine là où elle était en contact avec ses lèvres.

Elle revint de la chambre de son amie avec deux beaux strings en dentelle, un noir et un blanc. Je la mis a genoux devant moi. Je lui fit sortir ses deux seins des bonnets de son soutien gorge. je lui fit enrouler les strings autour de ses mains pour, ensuite, se caresser les pointes avec les strings de sa collègue.
"Pouvez-vous vous caresser la chatte à travers le string avec une main et le visage avec l'autre main ?"
Elle s'exécuta après m'avoir regardé avec dans les yeux une lueur de plaisir qui me donna envie de me surpasser pour elle et sa collègue. Une jeune femme en train de jouer avec son corps et les dessous d'une autre... Je n'en pouvais plus. J'étais aux anges devant cette vision d'une sensualité, d'un fétichisme excitant.
" Mademoiselle, devant tant de professionalisme, je me vois dans l'obligation de sortir ma queue pour me toucher devant vous. Cela vous convent-il ?
- Oh mais faites, monsieur. Je suis à votre disposition."

Ce fut à ce moment là qu'Anaïs fit entendre le bruit de sa clé dans la porte...



 

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Je la fis sortir de l’eau en lui prenant les mains et en la soulevant. Elle était légère mais ce qui attira mon attention furent ses seins. Ils étaient plus généreux que ce que je n’avais vu. En les voyant rebondir quand je soulevai son corps hors de l’eau, je vis un bonnet b plus que a. Ce qui n’était pas pour me déplaire.

Quand elle fut debout devant moi, je vins doucement mordiller le lobe de son oreille avant de lui dire à voix basse :
« L’idée est de ne pas se gêner, n’est-ce pas ? »
Elle approuva dans un souffle avant de pousser un soupir en sentant un doigt s’aventurer dans sa chatte. Elle était humide et moite. C’était bon de la doigter alors qu’elle était debout à côté de moi.
Poursuivant le jeu, je me mis à marcher en l’entraînant à ma suite, avec à présent deux doigts dans sa fente. C’était excitant et cru de sentir le frottement de son sexe sur mes doigts alors que nous avancions.
Sa chatte était tellement trempée que mon excitation redoublait à chaque instant.
Je la conduisis jusqu’à sa serviette où là, je sortis mes doigts de son sexe pour les lui faire lécher. Elle le fit avec application et envie. Elle avait envie de ces doigts luisants de sa cyprine. Elle avait envie de goûter sa chatte.
Alors qu’elle s’occupait de mes doigts, j’en mis deux autres, de la main gauche, dans son sexe.
« Elle lèche mes doigts et elle se fait doigter. C’est un très bon début, cela. Elle m’excite de plus en plus cette belle petite chienne. »
Puis je pris sa natte dans une main pour basculer sa tête en arrière.
« La suite à présent, mademoiselle la stagiaire ?
- La stagiaire l’attend avec impatience.
- Alors à quatre pattes, les épaules au sol, s’il vous plait. »
Elle s’exécuta en silence.
Elle m’offrit une pleine vue sur son cul, sur son entrejambe, sur sa croupe. Elle était aussi belle qu’excitante ainsi offerte, les fesses en l’air sur sa serviette de bain.
Cette stagiaire était à la croisée de tant de fantasmes que je voulais en profiter le plus possible. Elle était la jeune femme en tailleur, elle était la cadre sup à lunette, elle était la nana qui bronze seule sur un petit coin de paradis désert. Et elle était, pour l’instant, partante pour mes jeux, soumise à mes désirs.
Pour conclure ses réflexions, je mis mes mains sur ses fesses pour les ouvrir et contempler son intimité, ses deux orifices, sa fente et son trou. Sa fente luisante de plaisir, son petit trou qui m’attirait beaucoup.
« A table, dis-je. »
Puis je me mis à laper ses deux orifices d’un grand coup de langue, à titiller son clitoris et son anus, avant de la lécher, de l’explorer de ma langue. Elle ne disait plus rien, toute entière à son plaisir alors que je m’aventurai en elle de ma langue et de mes doigts.
« Une bonne chatte bien trempée et un petit trou excitant. C’est bon de bouffer le cul d’une stagiaire comme vous, mademoiselle.
- Surtout ne vous arrêtez pas monsieur. Je suis trop bien là.
- Aucune envie de m’arrêter, n’ayez crainte. Plus je goûte à ces deux petits trous, plus j’ai envie de bien baiser cette belle petite salope à quatre pattes devant moi… »
N’étant pas sûr que ce nouveau mot cru lui plaise, je fis une pause, déposant même un baiser sur ses fesses. Chaque geste ou mot cru était, comme toujours, à quitte ou double. Un refus et tout pouvait s’arrêter ; une acceptation et le plaisir était magnifié. Elle n’eut aucune réaction, gardant les yeux fermés et la respiration haletante.
Je pris cela pour un consentement.
Mon geste suivant fut de la prendre. Ma queue était raide et tendue de désir pour ce beau petit lot à quatre pattes devant moi. Je la pris doucement mais en profondeur, glissant ma queue bien au fond de sa chatte avec de commencer à la limer. Mes mains sur ses hanches, serrant bien cette taille de guèpe, je me mis à sauter ma stagiaire.
Sa chatte était douce et serrée. Ma queue bien dure. Elle ouvrit les yeux pour me regarder. Seul son œil gauche me fixa car l’autre était contre sa serviette.
« Baisez-moi bien, monsieur. Ne vous gênez pas pour votre stagiaire, elle aime tout ce que vous lui faites. »
Après quelques aller retour en elle, je sortis de son sexe pour me redresser.
« Je me ferais bien sucer par une petite chienne excitée. Vous pouvez m’aider ? »
Souriante, elle se mit a genoux et, sans un mot, vint me prendre en bouche.
« Une queue parfumée à la chatte de stagiaire. Suce-moi bien. »
Et là, en un rien de temps, mes mains furent sur ses tempes. Je me mis à faire aller et venir sa tête autour de ma queue mais plus vivement que tout à l’heure.
« Jouez avec vos pointes pendant que je vous baise la bouche, s’il vous plait ? »
Ne pouvant me répondre par des mots, elle m’envoya un regard éloquent. Du genre qui fit durcir encore un peu plus ma queue. Puis elle saisit ses pointes et joua avec alors que j’investissais sa bouche. Sa bouche allait et venait autour de ma queue. Je baisais ses belles lèvres de suceuse sans me retenir. Elle tirait, pinçait, roulait les pointes de son bonnet b qui m’excitait autant que tout son corps.
« Ah la belle petite salope de stagiaire, elle aime la queue, fis-je au comble de l’excitation, retenant tant bien que mal une première éjaculation. C’est le pied de vous sauter, mademoiselle. »
Puis je la repris en levrette. En tirant ses cheveux, en redressant son buste pour la plaque contre mon ventre. Je mis trois doigts dans sa bouche pour les lui faire lécher. Je voulais la posséder, jouer avec elle, la rendre ardente et soumise, joueuse et offerte. Je pris son petit slip blanc pour lui passer en travers de la bouche et la retenir contre moi par l’étoffe de son bikini. Ainsi bâillonnée par son maillot imprégné de sa cyprine, elle était proche de l’orgasme, je le sentais.
Chaque coup de queue que je lui donnais nous rapprochait de l’explosion. Et je lui en mis beaucoup. Je sortis ma queue pour aller caresser son clitoris avec mon gland. Son sexe était un puit de plaisir, un volcan en éruption.
Je revins en elle pour la conduire à l’orgasme. Mes mains enserraient avec puissances ses hanches, mes coups de queue dans sa chatte étaient profonds et vigoureux. Alors qu’elle allait exploser, ma main descendit entre ses jambes pour aller caresser son clitoris. J’étais excité et donc mon geste ne fut pas aussi précis que possible mais il suffit à ma stagiaire. Sentir une queue en elle, une main sur son mont de vénus la fit décoller. Elle se cabra, un frisson la parcourut. Elle soupira plusieurs mots que je n’entendis pas car j’étais trop proche de l’extase, moi aussi.
« Viens toi aussi, me dit-elle après avoir repris ses esprits, alors que j’étais encore en elle, doucement, au bord de l’explosion. »
Elle se mit a genoux et ouvrit la bouche.
« Ma bouche est toute à toi. »
Elle se prit les seins pour se les caresser alors que je masturbais avec le gland devant ses lèvres ouvertes.
« Une bonne giclée pour ma stagiaire, hein ? Une bonne giclée de foutre pour cette belle petite…. »
Mon mot se perdit dans un râle de plaisir. Mon éjaculation fut puissante et généreuse, visant sa bouche, ses joues, son cou, ses cheveux. Ma semence blanche macula avec délice sa belle peau bronzée. Puis elle recracha mon foutre sur ses seins avant de prendre ma queue en bouche, pour en savourer jusqu’à la dernière goutte. Elle lécha mon gland, elle m’aspira. Je chancelais sur place.
Je dus m’asseoir mais elle ne quitta pas ma verge. Elle me gardait au chaud dans sa bouche. Une de mes mains étala le foutre sur ses seins, sur son ventre. Elle descendit entre ses jambes. Son sexe était encore moite. Elle pris ma queue entre ses doigts pour me masturber doucement et me regarder.
« En tout cas, les clients ont beaucoup d’idées intéressantes, merci beaucoup pour cette leçon. J’ai beaucoup appris.
- Je peux encore vous apprendre des choses, mademoiselle.
- Oh mais cela m’intéresse monsieur. C’est important pour moi d’en savoir plus sur ce domaine. J’aime apprendre pour mon métier et je veux être une bonne gérante d’hôtel plus tard.
- Votre conscience professionnelle vous honore, mademoiselle. Je me dois de vous apprendre tout ce que je peux. Alors laissez moi vous proposer deux modules. Le premier, c’est sodomie au bord de l’eau par un client amateur de mots crus et le second, c’est en tailleur et en lingerie dans une chambre d’hôtel avec un client fétichiste de dentelle. Lequel avez-vous envie de suivre ? »
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C’était pour un voyage d’affaire que j’avais atterri dans ce bel hôtel. En un mot, le rêve. Tout sauf le boulot. Un lagon, des palmiers, du sable fin, des bungalows grand luxe. Même depuis les salles où se tenaient nos longues réunions de travail, je voyais un paysage de rêve. Ce qui rendait la peine encore plus difficile.
Chaque jour, je me disais que c’était une chance que de bosser dans une boite traitant principalement avec les grands groupes hôteliers à travers le monde. Il n’y eut qu’une après-midi de relâchement. J’en profitai, comme à mon habitude, pour fausser compagnie à mes collègues. Non pas qu’ils me déplaisaient mais ils étaient casaniers. Ils pouvaient passer leurs journées off au bord de la piscine, dans l’hôtel, comme de simples touristes. Or moi, j’aime explorer, découvrir, fouler de nouveaux lieux, m’aventurer en terre inconnue. Grand bien m’en prit ce jour là…
Une belle plage courait au pied de l’hôtel et se prolongeait sur des kilomètres. Je pris une bouteille d’eau, de la crème et une serviette pour partir à la découverte de cette belle étendue de sable blanc. Après un quart d’heures de marche, je vis une petite rivière qui se jetait dans la mer. En suivant son lit du regard, je me pris à imaginer une cascade, de l’eau fraîche, une vasque creusée dans la pierre.
En un mot, la baignade de rêve.
Je n’avais pas les chaussures adéquates donc je ne pouvais m’avancer trop avant. Heureusement, je n’eus pas à le faire. La baignade de mes rêves s’offrit à moi rapidement. Avec, pour compléter cette vision, des jambes de femme disparaissant derrière un rocher. M’approchant silencieusement, je crus reconnaître une tache sur la cheville, une tâche que j’avais aperçu en détaillant une stagiaire de l’hôtel, à la direction. Une grande et fine brune, aussi féminine que sexy. Le genre à lunette avec un tailleur. Le genre moins de vingt cinq ans et déjà femme. Le genre qui me fout le feu aux poudres très rapidement. Le pas suivant me fit avoir une vision de rêve.
Le rocher me dévoila la simple étoffe blanche de son petit slip de bain avec, l’animant, deux doigts glissés dessous. Je ne voyais pas plus haut. Simplement ce bikini et ces jambes, tous appartenant à une jeune femme se donnant du plaisir. Là, typiquement, j’étais en plein fantasme : une sirène sur une plage.
Mon cœur s’emballa avant que je n’en tire les rênes pour garder le contrôle. Je ne pouvais me permettre de laisser filer cette occasion. J’agis à l’instinct, rapidement. En poussant un sifflement ébahi par la beauté du site. En lâchant un discret « c’est beau » comme si je me parlais à moi-même. Ses jambes bougèrent. Elle se redressa, une main sur les seins, essoufflée, désirable. Et là, elle me sourit. Un sourire lascif, tentant. Le sourire d’une femme interrompue dans un moment d’intimité mais qui n’en éprouve aucune honte.
« Bonjour mademoiselle. La vue est belle, dis-je en plantant mon regard dans le sien. »
Elle dut sentir que mon propos était à double sens car elle eut un second sourire mystérieux.
« Vous êtes client de l’hôtel, n’est-ce pas ? Le groupe Parksons, non ?
Je hochai la tête.
« Et vous, vous êtes la stagiaire que j’ai vu hier dans un tailleur beige très sexy ? »
Toujours le même sourire, avec cette fois-ci une nuance flattée par le compliment.
« Et bien, si je puis me permettre, mademoiselle, vous êtes aussi belle en tailleur qu’en monokini.
- Mais avec la différence que je ne peux pas être en monokini à l’hôtel.
- Donc vous venez ici pour être peinarde et bronzer nue?
- Je ne suis pas nue, monsieur.
- C’est vrai. Rien de plus qu’un tout petit slip de bain. Mais ne vous gênez pas pour moi si vous voulez vous mettre à l’aise…
- Je n’aime pas bronzer nue !
- Vous aimez avoir les traces du maillot sur les fesses ?
- C’est cela. Je trouve cela sexy.
- Moi de même…
- Mais par contre, je me baigne toujours nue, me coupa-t-elle avant que je ne puisse achever ma phrase. »
Joignant la parole au geste, elle fit glisser dans un déhanchement fabuleux, son petit bikini à ses pieds, me révélant un pubis lisse et une chute de rein délicieuse.
Et puis elle me tourna le dos pour aller se baigner. Son cul… Il me rendit fou.
Dans un réflexe, je pris son maillot pour le porter à mon visage. Il sentait le plaisir, la fraîcheur… Mon érection fut immédiate et vigoureuse.
« Je ne vous gêne pas, monsieur, fit-elle, provocatrice et amusée.
- Oh pardon mais… je… c’était trop tentant… cette odeur… votre beauté… Vous pouvez en voir la preuve de là où vous êtes, d’ailleurs. »
En effet, elle avait pleine vue, sur le relief de mon short de bain, relief éloquent. « Une belle vue pas complètement dégagée, hélas.
- Oh mademoiselle, si j’étais vous, je n’exigerais rien de plus. Le danger est trop grand.
- Ah oui ? dites m’en plus ?
- Il y a que cette vue provoque souvent une irrésistible envie de sucer chez certaines femmes et je ne suis pas sûr que vous ayez le droit de sucer les clients de l’hôtel.
- En effet, la situation peut-être délicate mais bon, je ne suis pas sûre, vous savez. »
J’adorais ce dialogue, qui était un délicieux préliminaire, très excitant. Elle jouait à merveille son rôle. Je bandais comme un taureau.
« Vous êtes stagiaire. Au pire, vous pourrez plaider la méconnaissance.
- Tout à fait. J’ai beaucoup à apprendre. Je débute.
- Alors si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je pourrais vous montrer certains désirs que peuvent avoir les clients.
- Oh merci beaucoup. J’aime apprendre sur le tas. »
L’instant d’après, j’étais les pieds dans l’eau, assis sur le rocher au bord du petit gourd alors cette belle stagiaire, dont je ne connaissais pas encore le prénom, me prenait en bouche, jouant quelques instants avec mon gland du bout de sa langue avant de m’aspirer de toutes ses lèvres.
« Débutante dans l’hôtellerie, peut-être mais pas dans l’art de sucer, on dirait, mademoiselle. »
- Je fais bien ce que j’aime faire.
- Cela se sent que vous aimez sucer, dis-je en descendant mes mains pour aller attraper les pointes de son délicieux bonnet a. »
Elle s’arrêta un instant de me sucer alors que je faisais rouler ses pointes entre mes doigts.
Elle s’en mordit les lèvres de plaisir. En la voyant ainsi s’épanouir, j’eus très envie de jouer avec elle, de voir jusqu’où une si élégante jeune femme avait envie d’aller, était capable d’aller avant de trouver les gestes trop crus. Je mis deux doigts dans sa bouche, en laissant l’autre main sur son sein droit.
« Sucez mes doigts mademoiselle et fermez les yeux. »
Elle happa avec avidité mes doigts.
Elle joua avec du bout de sa langue alors que je titillais toujours plus avant sa pointe. En la tirant doucement, en la faisant rouler, en la pinçant avec délicatesse et fermeté. Je la sentais s’abandonner au plaisir.
« Laissez-vous faire, mademoiselle.
- Avec plaisir, dit-elle dans un souffle. »
Là, je mis une main sur sa tête pour la guider vers ma queue et poursuivre la pipe arrêtée il y a peu. Je voulais la reprendre mais différemment, en dirigeant cette belle bouche, en imprimant moi même le rythme de cette fellation. Ma stagiaire se laissa faire, toujours les yeux fermés. Mes mains enserraient sa tête avec assurance. Je faisais aller et venir sa bouche autour de ma queue. D’elle-même, elle jouait avec sa langue.
« Une stagiaire qui suce à merveille. C’est le pied ! Cela va être un vrai plaisir que de baiser cette petite chienne, dis-je, en espérant que ce mot n’allait pas la bloquer dans son élan. »
Certes, elle avait envie de voir les désirs des clients mais je ne savais pas si ce mot, si les jeux allant avec ce mot étaient parmi les envies de cette jeune femme…
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Mademoiselle, si tu lis ces pages, j'aimerais que tu me décrives, en commentaire à ce billet, les dessous que tu portes... couleur, marque, matière.... tout, envie de tout savoir sur ta petite lilotte...
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